𝑄𝑢𝑎𝑟𝑎𝑛𝑡𝑒-𝑛𝑒𝑢𝑓

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OMNISCIENT

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OMNISCIENT

Font-vert,Marseille, 
15h22, 21 janvier 2011

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Fayyed inspira et soupira avant de frapper trois coups à la porte. Il se racla la gorge en reculant juste après. Quelques secondes plus tard, qui lui semblables a des heures, la porte s'ouvrît sur la soeur de Yousra. Elle fronça les sourcils en le voyant. Fayyed souffla d'ennui rien qu'en la voyant et cette dernière fronça les sourcils devant son dédain.

Djamila : Tu veut quoi ? Y'a pas Yousra ciao.

Elle allait lui fermer la porte au nez mais de son bras droit et avec aisance, il l'en empêcha avant qu'elle le fasse. Il s'avança et se baissa très légèrement jusqu'à elle gardant une certaine distance pour lui dire plus bas ;

Fayyed : Tu vas pas commencer a m'casser les couilles toi, laisse moi rentrer tranquillement sinon tu va regretter.

Djamila : Tu crois tu me fait peur ? Casse toi.

Fayyed : J'sais beaucoup de choses sur toi, si tu veut pas que ça se sache j'te conseille de fermer ta gueule et de me laisser passer.

Fayyed la fusilla du regard avant de s'éloigner. Cette dernière était en furie, elle le regarda de haut en bas avant de lui cracher ;

Djamila : Sale merde !

Sur ce elle s'éloigna pour le laisser passer. Il l'ignora et passa la porte. Après avoir laissé ses baskets dans le couloir, il s'avança jusqu'au canapé du salon pour s'y assoir. Djamila était devant la porte du salon les bras croisées sur sa poitrine énervée.

Fayyed : Il est la Mehdi ?

Djamila : Non il arrive.

Fayyed : Et ton père ?

Djamila : Oui.

Fayyed : Bah vas-y appelle le, tu fait quoi planté la.

Djamila : Je te crains w'Allah je sais pas pourquoi t'est là mais je...

Fayyed : Moi aussi j't'aime pas. Bref appelle ton père j't'ai dit me raconte pas ta vie là.

Elle se retourna furieuse et cria après son père pour l'appeler. Fayyed lui soupira. Il fallait qu'il garde son calme. Il devait être convaincant et rassurant. Quelques seconde plus tard, Saïd entra dans le salon les sourcils froncés vêtu d'un qamis blanc cassé. Fayyed lui offra un sourire colgate alors que le vieil homme leva les yeux au ciel en le voyant faire sa comédie.

Fayyed : Salam tonton comment tu va ?

Saïd : Salam. Tu fait quoi chez moi.

Fayyed avala sa salive et pinça ses lèvres. C'est mal parti. Saïd le rejoint à l'autre bout du canapé tout en continuant de mal regarder Fayyed.

𝐹𝑎𝑦𝑦𝑒𝑑 - « 𝐿𝑒 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑚𝑒 𝐷𝑒 𝐿𝑎 𝑇𝑟𝑖𝑠𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 »Opowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz