PARTIE 51

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Salem aleykoum
Bonne lecture 💓
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En ouvrant la porte de ma chambre pour y sortir, il était déjà là, devant la porte. Il me détaillé du regarde pour ensuite froncer les sourcils comme à son habitude.

Et comme à son habitude, il faisait son rire nerveux.

Ilyess : - Dahka.

Il s'approche de moi, moi je le regardais droit dans les yeux et lui pareil.

Il me dépassait vraiment de 2 têtes.

Et plus il avançait et plus je reculais.

Moi : - Tu joues à quoi ?

Il a encore rigolé nerveusement.

Ilyess : - Tu vas où ?

Moi : - Ça te regarde ?

Ilyess : - Ça me regarde pas ?

J'ai soufflé puis j'ai voulu partir mais il m'a retenu par le bras.

J'ai directement repoussé sa main fin j'ai essayé...

Ilyess : - w'Allah je te laisserai pas aller comme ça toute seule.

J'ai fait un sourire.

Moi : - Ah ouais ? Essaye pour voir.

Je jouais trop avec le feu, mais je sais que de tous les cas il allait me suivre.

Je voulais qu'il me suive.

Je suis parti dans le salon pour dire au revoir à ma mère.

Yemma : - Tu veux pas qu'on te dépose ?

Moi : - Non c'est b-

Je sens une présence derrière moi.

Ilyess : - Je peux la déposer moi khalti si tu veux. J'dois aller faire des courses façon.

Yemma : - Ça te dérange pas?

Ilyess : - Non, t'inquiètes.

Yemma : - Merci, fais attention à toi Sara.

Moi : - Mais c'est bon, je peux y aller toute seule.

Ryad : - Déjà on te laisse aller comme ça dehors en plus, et tu veux pas qu'on te dépose ? Tu vas rester ici toi.

J'ai encore soufflé, j'ai bousculé Ilyess exprès en me dirigeant à la porte:

Moi : - Bslema (au revoir)

Quand je suis sorti, j'ai pris l'ascenseur. J'attendais même pas Ilyess.

Au fil du temps, je l'ai appris à connaître.

Comme vous savez, je savais exactement ce que je devais faire pour le faire réagir.

Il a limite couru pour entrer dans l'ascenseur.

Je regardais ailleurs pendant que lui, me fixait.

Après un long silence de quelques minutee, il s'était décidé de parler

Ilyess : - On peut parler ?

Moi : - Je veux pas parler avec toi.

Ilyess : - Haychek.

C'était à mon tour de rigoler nerveusement.

Moi : - Sah, t'es la personne qui me hayef le plus au monde.

L'ascenseur s'est ouvert et je suis sorti suivi de ses pas.

D'un coup, je sens qu'on me tire violemment par le bras et me plaquer contre les boîtes à lettres là, ça m'avait tué le dos.

Chronique de Sara : Tombée pour lui Donde viven las historias. Descúbrelo ahora