Travail

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Je ne savais pas comment j'avais pu réussir à dormir hier soir.
J'étais terrifiée à l'idée que quelqu'un vienne me tuer pendant mon sommeil.
Mais à ma grande surprise je suis encore vivante !
Je m'étais réveillé à 7h, grâce aux rayons du soleil qui traverser la grande baie vitrée de la chambre.
Cette chambre m'impressionnera toujours, tellement elle est immense.
Je me levais du lit en me rappelant que ma valise étais encore dans le coffre du taxi.
Lorsque je tourner la tête, je remarquais qu'un  post it été coller sur l'armoire de la chambre. Il y était écrit :
"T'es vêtement son ici"
Un sourire se dessina sur mes lèvres.
Enfin quelque chose de positif.
Je prenais les vêtements dans l'armoire, et je les mettais, c'était un pantalon noir et un t-shirt blanc.
Simple et efficace.
Pas besoin de me faire belle pour un homme qui m'avais kidnappé.
Ensuite je me maquille, avec un peu de mascara, et de baume à lèvre.
Je n'aimais pas être trop maquillée.
Aussitôt Brad, entra dans la chambre.

— Je vois que je n'est pas eu besoin de te réveiller.
— Je suis très matinal. Dis-je en levant les yeux au ciel.

Je voulais à tous pris rentrer chez moi pour revoir ma mère et tout lui raconter mais malheureusement je ne pouvais pas à cause de Brad.
Il me soûlait. J'en avais marre.

— Aller, vas me faire un café , et plus vite que ça dit-il

— Mais je sais même pas où est la cuisine...

— Je n'en ai rien à faire, tu la trouvera.

Je rester silencieuse face à sa réponse.
Il me fixait , avec un regard que je n'avais vu auparavant.
Ses yeux marrons clairs, m'intimidais.
Cette homme était intimidant.
Avec sa grande taille, je me sentais toute petite face à lui.
Puis sans perdre une seconde de plus a le regarder, j'ouvrais la porte pour partir préparer le café.
Cela faisais 20 minutes que je cherchais cette fameuse cuisine.
Elle était introuvable.
La maison était bien trop grande.
Le seul endroit que je connaissais était : le bureau de monsieur Brad et ma chambre.
Je n'allais pas perdre mon temps à chercher encore alors que je ne trouvais pas la cuisine

Soudain, je sentais une main se poser sur mon épaule.

— Sa fait 25 minutes que j'attend mon café dit Brad derrière mon dos.

— Je suis d...désoler, mais je ne trouve pas la cuisine.

— Ok, viens.

Aussitôt, il pris ma main. C'était la première fois que quelqu'un me prenais la main et pas le bras.
Il m'amena dans la cuisine.
Je n'avais jamais vu de cuisine aussi spacieuse de toute ma vie.
Les meubles était en noir et le sol du parquet.
J'étais abasourdi face à cette pièce.
Et Brad le remarqua très vite, et un sourire se dessina sur ses lèvres.

— J'ai l'impression que tu n'as jamais vu de cuisine de ta vie.

— Haha très drôle, c'est juste qu'elle est très jolie.

— Et c'est ici que tu vas rester là plus part du temps maintenant, dit-il d'un air arrogant.

Je levais les yeux vers lui pour lui faire face, pour ensuite lui dire :

— Tu crois vraiment que je vais rester ici longtemps ? N'y compte même pas. Dis-je en levant les yeux en ciel.

D'un seul coup il se rapprocha de moi,d'un geste brusque pour me plaquer contre le mur.
A quoi jouait il ?
Si il crois que j'allais me laisser faire , et bien il se fourrer le doigt dans l'œil.

— Recule, j'aime pas être aussi proche d'un kidnappeur.

— Sinon tu vas faire quoi ? Me frapper comme la dernière fois ? Je te préviens si tu le refais, c'est moi qui vais te frapper et tu vas voir sa vas te faire tout drôle.

— Ah parce que tu crois me faire peur avec ces menace ? Dis-je en rigolant .

D'un seul mouvement, il attrapa mon cou ,et commença à le serrer avec une force impressionnante.
Je suffoquais, il était complètement dingue.
J'essayais de me débattre mais rien.
Rien ne marcher sa main, serrer toujours autant mon cou.
Je commençais à toussais, et à avoir du mal à respirer.
Par contre lui , il me regardait, avec un regard vide.
Instantanément, il prit à nouveau la parole :

— Tu vois, je t'avais dit que je ne me laissais pas faire, si tu ose un seconde fois me reparler sur ce ton , je te tuerais de mes propres mains.
C'est compris ?

— O...Oui lâchait moi s'il vous plaît...

Sur le champ il me lâcha la gorge.
Mes larmes coulait tout au long de ma joue.
J'étais dévastée. Mon cou me faisais un mal de chien.
Il étais rouge. Comme mon visage.
Je tremblais de partout, tellement que mes jambes n'arrivais plus à supporter mon poids.
Je tombais à genoux devant lui.
Il me regarder sans rien dire.
Je n'étais qu'un objet sans vie pour lui.

— Maintenant vas préparer mon café. J'en ai marre d'attendre .dit-il

Là dessus, il s'en vas, me laissant seul encore une fois .
Il fallait que je trouve une solution pour m'enfuir.
Je n'ai pas envie de me faire maltraiter encore.

La seul chose que je voulais faire c'était l'empoisonnai avec le café que je devais lui préparer.

Sentiment RenferméWhere stories live. Discover now