Le Retour

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Il est déja 14:30, on doit passer revoir maman.
Les heures passèrent vite avec ce monsieurs là.
À la porte de McDo, j'ai vu la petite fille qui était à l'interieure debout à côté de la voiture de Réni. Heureusement qu'il ne pouvait plus la voir, car si il pouvait, il va me demander tant de questions sur les esprits, quant à moi, je veux rien dire.
Je veux savoir ce qu'il va se passer sans que je le dis à quelqu'un.

Il me dit qu'il veut m'aider; faire des recherches. Mais moi, je n'en veux plus!
Je veux être l'amie de cette fillette qui m'a suivi. Elle a l'air géniale, mais comme elle est esprit, elle doit être morte !
Oh mon Dieu, pourquoi les morts me suivent partout?

Maintenant je suis sûre pourquoi la femme de ma vision dans ma nuit m'a dit que je suis spéciale. C'est parce que je suis la seule à les voir, mais attends, est-il logique que je suis LA SEULE DANS TOUT LE MONDE qui a ce pouvoir? Cette idée me gène.

Nous montions dans la Mercedes sans rien dire. Nous étions sur la route à l'hôpital, c'était l'heure de voir ma belle Jessica.

Puisque l'enquêteur sait que je cache quelque chose de lui, il pensait tout le temps. Les sourcils joints, ce beau jeune parait très méchant. À vrai-dire, il était très nérveux car il voulait que je lui raconte tout ce que je vis.

À mon tour, je pensais moi aussi.
Maman et papa sont normals et ont aucun pouvoir extraordinaire.
Comment moi; étant la fille de deux humains, aurais-je avoir l'abilité de voir les êtres invisibles?
Je voulais bien savoir qui m'a choisis, MOI PRÉCISEMENT pour avoir celà. Et ben, si j'ai ces pouvoir, dois-je accomplir des missions comme on voit dans les films?

J'ai essayé de faire des relations avec ce que je vis et ce que je regarde à la télé mais je ne peux pas...
Dans une scène à Conjuring, l'esprit au début disait au membres qu'elle voulait être une amie à eux, car elle avait des pouvoirs pour qu'elle puisse se contacter avec cette famille, alors ils l'ont permettaient de vivre dans le corp d'une poupée effrayante, alors que cet esprit voulait faire ça afin de posséder un de ces membres. Celle-ci avait des problèmes, alors qu'elle s'est suicidée, et c'est ça la cause de l'habitation de l'esprit dans cette maison.
Mais non! Je n'ai aucune relation avec ça! Moi, je ne vis pas dans une maison qui était habité par des gens qui ont vécu des problèmes! Notre vie était normale jusqu'à mon nous a quitté...

Sur notre route, Réni était silencieux, il ne m'a ni parlé ni questionné. Je me demandais qui était la petite fille.
Elle était de mon âge; morte; esprit!
J'avais de differentes sentiments, mais l'essentiel, c'est que je sentais qu'elle va me visiter encore.

On s'approcha de notre destination.
Le nombre 684 ne pouvait pas quitter mon cerveau.
On se dirigea donc vers cette chambre. L'infermière du matin se pencha vers moi et m'embrassa. Je la laissais avec l'enquêteur et entra à la chambre où maman était dès hier soir.
Maman est là, elle ouvra les yeux, elle me regardais dans une manière comme si elle ne m'a jamais vu.
Je la salua et resta près d'elle.

M. le policier entra alors. Il était souriant.
Maman me murmura :

C'est qui ce monsieur ?!

C'est M. Réni ! Je cria. Il m'a beaucoup aidé! Quand ils t'ont transportés à l'hopitâl, ils ne m'ont pas laisser venir, alors, ce gentilhomme venait pour rester avec moi pour toute la nuit, ensuite...
Ma mère ne me laissais pas terminer mon discours à voix d'innocente, elle dit alors à voix la basse :
M. Réni, tu as l'air gentil, merci bien de vouloir rester avec ma petite jeanne, tu me dois trop.
Il baissa sa tête de timidité, en souriant lui aussi, il repond :
Non madame, c'est juste une responsabilité.

Un silence pris place dans la chambre.

Je reprit alors ma parole en prenant la main de maman dans les miennes.

Installée près d'elle, je lui racontais les événements qui avait meublé ma vie pendant son absence. Je les racontais à ma façon, sans ordre, sans cette obeissante aveugle à la stricte vérité des faits qui rend les récits des grands personnes dépourvus de saveur et de poésie. Je sautais d'une scène à une autre, je déformais les détails, j'en inventais au besoin. À chaque instant, M. Réni essayais de réctifier ce que j'avançais en riant timidement.
Je ne disait rien sur les esprits, car je ne voulais pas que maman soit inquiète sur moi, et Réni me comprenais juste de mon regard.

- Dieu te benisse M. Réni. Je ne sais pas comment te remercier. Tu sais ? Je t'invite à dinner avec nous quand je reviendra à la maison.  Dit-elle à voix basse.

- Non madame, mais... je vous en prie...
Elle ne lui a pas laissé terminer sa phrase quand elle jeta:
- Pas d'excuse, tu m'a fait du bien; tu me dois !

- Merci bien Mme. Sindacco.

Un silence se glissa dans les lieux quand quelqu'un frappa à la porte. C'était l'infermière.
Elle portait dans ses mains une aiguille. Elle regardais Réni dans une manière qu'on dirait qu'elle est follement amoureuse de lui !
Elle admirait ses vétements, ses mèches, ses beaux yeux, son mignon petit nez, sa bouche, ses musculaires bras...
Elle aimait tout en lui. Elle était tout le temps entrain de le regarder et à mon tour, je la scannais.
Je ne pouvais pas supporter quand je me suis mit à rire.

- Shuut ! Qu'est-ce qu'il y a ?
Maman m'a demandé.

- Hihihi, non y a rien maman, hihihi..

Je jetta un coup d'œil sur cette jeune femme qui était absente moralement, elle révait...

Je m'approcha vers mon ami Réni quand je lui murmura dans l'oreille " ELLE T'AIME ".
De ses sourcils presqu' anguleux il me dressa un sourire sarcastique.
Il savait de qui je parlait, car biensûre qu'il va constater que quelqu'un est tout le temps entrain de le regarder !

Au moment oú je me suis adressaie vers ma chaise, son téléphone sonna.

Des Évenements ParanormauxWhere stories live. Discover now