Mr. Pérez

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Au moment oú je me suis adressaie vers ma chaise, son téléphone sonna.
Il partit à l'exterieure pour voir qui était. Je l'entendis mal.
L'infermière parlais avec maman et la questionnait si elle voulait quelque chose, disant que si elle prenait ses médicaments en ordre, elle pourra partir demain matin.

Quand l'infermière alla ouvrir la porte pour partir, mon ami l'enquêteur venaitvde finir son absence et venait déclarer que M. Pérez, son directeur, était au courant de l'accident de maman et il voulait venir la voir.

À force de m'ennuier j'allais chercher à quoi m'amuser mais j'ai fini par regarder à la fenêtre.
Cette fenêtre montrait des fils de pluie qui le donnaient envie d'imaginer puis rêver.
Je laissais ce monde et partis au mien. J'inventais ce que je voulais, j'ignorais ce que je detestais. Maintenant qu'il fait une semaine que je ne suis pas allée à l'école, je me suis trouvée entrain de réaliser mes événements avec les gens, rendre cette place favorable pour moi.

Je changeais quelques décors de l'entrée. Au moins, là j'ai trouvé quelqu'un que je connaissais.
Tout le temps, mon imagination et le réel était une combinaison.
La petite esprit était vivante dans les lieux.
Elle s'est dirigée vers un couloir, et je la suivie et j'essayais de lui parler.

Elle était habillée de son uniforme scolaire, avec de longues chausettes arrivant à ses genoux.
Elle est entrée alors à la bibliotèque. Ce lieu était surveillé par une femme très nerveuse que je detestais. Alors quand je suis entrée à cet enfer, la petite gamine a disparu.

À ce moment je voulais mettre fin à mon imagination, mais je ne pouvais plus.

Je crois que j'ai somnolait un peu. C'est un frôlement qui m'a reveillé. D'avoir fermé les yeux, la pièce m'a parue encore plus éclatante de blancheur.
Devant moi, il n'y avait pas une ombre et chaque objet, chaque angle, toutes les courbes se designaient avec une pureté blessante pour les yeux.

C'est à ce moment que M. Pérez est entré. Il se glissait en silence dans cette lumière aveugle. Il s'est assis sans que sa chaise grinçât.
Je le voyais comme je n'est jamais vu personne et pas un detail de son visage ne m'échappait. Pourtant je ne l'entendit pas et j'avais à peine croire à son réalité.

Il portait un costume gris et une chemise blanche qui le serrait à la taille faisait encore ressortir son ventre bombé.
Je n'avais encore jalais remarqué à quel point les vieils hommes pouvait avoir du ventre.
Ce qui me frappait dans son visage, c'est que je ne voyait pas ses yeux, mais seulement une lueur sans éclat au milieu d'un nid de rides.

Depuis qu'il est assis, il ne disais rien. Rien ou peut-être juste des petits mots que je n'avais pas remarqué avec mon someil que j'avaid pris.

L'infermière séduite nous informe alors que ma Jessica avait besoin de someil, et que le temps de la visite est términé.

J'embrassa maman dans son front, les deux hommes la saluaient de loin.
Réni a promoit ma mère de prendre soin de moi jusqu'à son retour. Elle le remercia encore.Je fis un signe d'amour à maman en la laissant prendre someil.

Je fermais la porte quand j'ai entendu les deux hommes parler :

- Quel genre d'humain peut faire ça pour ruiner la vie d'une simple famille ! Avec les arguments qu'il a donné, rien ne semble vrai. Et bien, tu m'as dit que la p'tite t'as dit que celui là a vu son père par terre avec du sang, et sans permission, il a dû prendre ses clés et conduire jusqu'ici ? Et encore il savait la route à la maison ? Il savait que cet père a un cadeau pour sa fille ? Ce n'est pas logique ça pas du tout !

Je ne pouvais plus me taîre quand j'ai entendu la tirade du grop, alors je me mis à crier :

- C'est lui qui a dit ça et en plus, on est pas sûre que ce discour est vrai ou pas ! Je vous ai mis au courant en copiant les mêmes phrases que cet homme a utilisé !!

Ils restaient surpris en m'entendre dire ça, j'essayais de faire semblant que j'entendais pasce qu'ils disaient mais bon, Pérez parlait comme si rien n'était vrai et que c'est moi qui a tout inventé ! Ah oui ! Une petite gamine qui ne sait pas ce qu'elle dit ! Ow, la petite de huit ans a des cauchemards qu'elle pense que c'est vrai, oh le gros Pérez, j'ai envie de te gifler, Monsieur.

Réni m'a fait signe de se taire quant à lui, il allais avec son directeur de ouf alors que je ne peux pas les entendre mais je m'approchais à pas silencieux pour entendre le discour.
Le suspence me tue.

- M. Pérez, je sais bien que vous ne la croyez pas ce que Jeanne disait mais elle était effrayée, tellement effrayée que j'ai pu la croire en tout ce qu'elle a dit !

- Et si elle était peureuse juste de son propre cauchemard ? Lui répond ce grop en posant la main sur l'épaule de mon ami.

- Je n'allais pas entendre les voix criardes dans sa maison.

- T'as entendu quelque chose?

- En tout cas, vous ne me croyez pas, M. Pérez. Je vous laisse, je veux rejoindre la petite "peureuse de ses cauchemard".

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⏰ Última atualização: Aug 26, 2017 ⏰

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