LES AVENTURES DE BRYAN

1 - Une famille heureuse

CHAPITRE UN

Neuf heure trente, Angleterre, 284 Clark Street

J'ai vingt-et-un ans aujourd'hui. Et j'ai toujours pas eu de petites amies de ma vie, pourtant je suis pas si moche que ça. Si nous ne regardons pas mes cernes sous les yeux, mes boutons presque inexistant que depuis quelques mois sur le front, et mon corps de lâche, je ne suis pas si mal.

Je n'ai jamais vraiment chercher des petites amies non-plus, mais je me sens prêt aujourd'hui. George qu'il allait inviter tout ses amis pour ma fête d'anniversaire, et dieu sait que George a beaucoup d'amis.

Je me lève enfin de mon lit, en faisant mon lit rapidement, je connecte mon portable au Bluetooth pour mettre de la musique à fond dans ma chambre. J'ai assez de chances, la musique ne dérange en aucun points mes parents, même qu'ils aiment bien. Sur le parquet, mes pieds nus commencent à bouger au rythme de la musique. Tout en me secouant la tête pour coiffer un minimum mes cheveux, je claque mes doigts toujours au rythme de la musique. J'augmente le son de la musique, qui est à 18/20, et vas me brosser les dents dans la petite salle de bain m'appartenant, avec une douche, un lavabo et une toilette. Je pourrais me raser – j'aurais du mal avec mes poils inexistant – me doucher, et pisser en même temps sans aucuns problèmes.

Après les dents lavés, et avoir nettoyés mon miroir qui était plein de dentifrice après que j'ai chanter avec ma bouche encore pleine de dentifrice, je descend vers ma cuisine, d'où on entendait encore la musique, et m'assois sur la chaise haute. Maman faisait du bacon en chantant la musique et en bougeant ses hanches au rythme de la musique, et papa était en train de remplir des papiers sûrement important, en bougeant sa tête de droite à gauche et taper son pied droit toujours au rythme de la musique. Cette scène m'a fait sourire, je me plains pas de ma famille, malgré les quelques disputes entre maman et papa, ça reste rare et j'aime ma famille.

Je reçois un coup de pied à ma gauche, mais papa était à ma droite, et maman devant moi. Je me tourne, rien. Je baisse le regard et croire les yeux de mon adorable berger finnois, Yvain, qui me réclame une tranche de bacon que maman venait de mettre dans mon assiette. Je prend discrètement la tranche et lui donne à manger.

- Ne dis rien à maman hein, dit-je en murmurant.

- Je t'ai entendu, ne donne plus à manger à ce chien, il en a déjà assez dans sa gamelle.

- C'est un signe d'affection maman.

Je met les deux dernière tranche de bacon dans ma bouche, et pars plus vite que jamais dans ma chambre, Yvain me suit derrière moi. C'est un nom ridicule oui, mais je ne savais pas comment l'appelé, et vue que c'est mon chien, mes parents ne voulaient pas m'aider. J'ai regarder un peu partout dans ma chambre, et j'ai vue le livre « Yvain, le chevalier du Lion », un livre laissé chez moi par accident de George.

George est mon meilleur ami depuis mes onze ans, ma rentré au collège. J'ai eu que lui comme amis depuis. Je suis du genre timide et lui sociable. Il est avec Anna depuis environ cinq ans, même Anna je ne suis pas ami avec elle. Je la connais, je l'aime bien, quand je joue au jeux-vidéo avec George chez lui, elle arrive souvent à l'improviste, elle discute pas beaucoup avec moi, surtout avec George, mais ça lui arrive de me poser des questions.

Je prend rapidement mon portable et enlève la musique. J'enlève mon bas de pyjama rouge et l'échange avec un jean, et je met rapidement une chemise jaune par dessus mon haut de pyjama, et met un pull noir au dessus de cette chemise, en prenant soin de sortir le col.

Je regarde mon portable, il est neuf heure quarante-deux. À neuf heure trente, George devait m'envoyer un message comme quoi il est devant ma maison. Je sais qu'il auras encore plus de retard, je laisse donc Yvain venir sur mes genoux, et je m'amuse à le mettre debout et le faire parler en jouant avec ses pattes avant.

J'entends la sonnerie de la maison s'enclencher, je pose violemment Yvain sur le côté de mon lit – sauf qu'il rate mon lit et tombe à côté – et court vers l'escalier en mettant mon portable dans ma poche arrière.