LXI

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« Les viners deviennent des chanteur, on va pas se gêner comme chez les Jenner »

TOUJOURS DANS LE FLASHBACK

J'ai réussi tant bien que mal à la soulever de moi.

Je ne sais pas si c'est le fait que je me sois lever vite par peur qu'elle me rattrape ou a cause Des coup qu'elle m'avais porter au visage mais j'avais un mal de crâne horrible.

Je l'ai entendu me crier des insultes que je n'ai pas relever et je suis partie en direction de la chambre de Jawad.

J'ai ouvert sa porte et je l'ai découvert en caleçon allonger sur son lit, il dormais bien profondément apparemment.

Safa : Notre petit sport quotidien là un peu fatigué *sourire*

Moi je suis rester là devant la porte grande ouverte, j'étais vraiment pas bien, une envie de vomir me traverse.

Je me suis retourner et j'ai pousser Safa afin qu'elle se bouge de mon chemin et j'ai dévalé les escaliers puis je suis partie en claquant la porte.

J'ai inconsciemment commencer à faire couler mes larmes, je pleurais comme une madeleine sur le trottoir, j'avais fini par m'arrêter car j'avais encore ce mal de tête et cette envie de vomir de dégoût envers eux, j'était mal.

A ce moment je regretter, je regretter de lui avoir fait confiance, une confiance aveugle je lui avait donner et lui il... Tfouu !

J'ai repris mon chemin puis je suis vite rentrée chez moi.

Ma mère était dans le salon avec mon père et une amie à elle.

J'ai préféré tracer dans ma chambre avant qu'ils ne se posent des questions.

Je me suis affalée sur mon lit et j'ai continuer à pleurer.

Je ne pleurais plus comme un gros bébé qui voulais sa maman, il y avais juste des larmes qui coulait mais rien que pour sa j'avais encore plus la haine, il ne mérite pas mes larmes, surtout Jawad, c'était mon Jawad...

Toc toc toc.

Moi : Nan !

La personne ouvra quand même la porte, j'avais la tête dans mon coussin mais j'ai reconnu les bruits de pats de mon père.

Toujours la tête dans mon coussin je l'entendis s'assoir près de moi.

Il passa sa main dans mes cheveux et dit :

Baba : Qu'est-ce t'a ?

Moi : *voix étouffée* Rien.

Baba : Déjà commence par sortir ta tête de là j'ai l'impression que tu veux t'étouffer.

Je me redressa un peu et lui fit face.

Baba : Eeuurk ! Ton maquillage il est partie en couille sur ton visage.

Moi : Arrête j'ai pas envie de rire.

Baba : Bah dit moi y'a quoi alors.

Moi : Y'a rien j'ai dit.

Tout N'est Que Meckthoub...Where stories live. Discover now