𝗕𝗹𝘂𝗺𝗲𝗮.

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Arrête-toi, c'en est assez.

Oui, regarde-moi, pleure tes maux, tes douleurs, tes malheurs.

Mes bras te sont ouverts, comme mon cœur, le plus sincère.

Repose-toi sur mes épaules, laisse échapper cette lourde larme vieillissante.

Et laisse-moi l'effacer, par le biais d'un baiser.

Laisse-moi caresser, les brûlures qui ne te sont que passées.

Laisse-moi être libre, d'embrasser celle pour qui j'ai tout donné.

Parce que l'on ne m'a jamais forcé à te dire je t'aime, que je me mure dans ce silence.

Dont l'air fut la première victime.
Celle de cet amour chancelle.

𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝙿𝚘𝚎𝚖𝚜]²¹Where stories live. Discover now