Arrête-toi, c'en est assez.
Oui, regarde-moi, pleure tes maux, tes douleurs, tes malheurs.
Mes bras te sont ouverts, comme mon cœur, le plus sincère.
Repose-toi sur mes épaules, laisse échapper cette lourde larme vieillissante.
Et laisse-moi l'effacer, par le biais d'un baiser.
Laisse-moi caresser, les brûlures qui ne te sont que passées.
Laisse-moi être libre, d'embrasser celle pour qui j'ai tout donné.
Parce que l'on ne m'a jamais forcé à te dire je t'aime, que je me mure dans ce silence.
Dont l'air fut la première victime.
Celle de cet amour chancelle.
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𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝙿𝚘𝚎𝚖𝚜]²¹
PoetryUne fleur, je l'ai été, Vouloir bâtir un monde meilleur, j'ai espéré. Mais qu'est-ce qu'un monde sans toi, Ton odeur est le fruit de mes rêves. Tout comme ta peau, est la liaison me permettant d'accéder au paradis, et ce sans être mort. Ta voix est...