𝗞𝗼𝗻𝗽𝗵.

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Aujourd'hui, je ne veux sortir, car dehors, il y réside la mort. Je n'ose posé de blasphème, car je serai source de tout leurs problème.

Je n'ose m'attacher au gens par peur de les perdre,
Dans cette abîme qu'est la vie, un théâtre funèbre.

Je ne veux blessé personne, bien que j'en eu blessé déjà plus d'un, entends-je chaque jour leurs râle qui résonne.

Partout où je passe les soldats tombent et les généraux lève le drapeau sur mes maux.

Je suis un soldat, lâche, mais soldat. Je marche suivant le ruisseau, le grand bain rouge, celui de ces démons fachos.

Je n'éprouve aucune joie d'être né et je plains chaque nouveau né, hurlant des paroles profane.

Ces bébés ils hurlent, fort, mais pas seul , j'hurle mes maux m'étranglant dans mes mots.

La mort sonne à ma porte, mais il est si bon de ce sentir vivant.

La mort sonne à la porte mais qui me pleurera, lorsque je l'aurais ouverte ?

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Inspiré de l'un des écrits
De CurtisFinn

𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝙿𝚘𝚎𝚖𝚜]²¹Where stories live. Discover now