𝗙𝗿𝗶𝗲𝗱𝗹.

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Il était allongé sur son fauteuil gris,
Se demandant à la vie,
L'avait-il vécu assez

Pour pouvoir la quitter ?

Sous son regard s'amassait la mer
Des collines vertes à perte de vue
Des corps inerte longeaient les avenues

Son corps est vide, le visage tordu,

Sous ce ciel grisâtre qui dépeint
Son chagrin.

Se nomme une fille portant en sa voix,
Une douce bagatelle,

Une frêle ritournelle, rappelant à ce monsieur cet amour maternel.

Son regard endolori se posait sur elle, tout ouï à ces balivernes.

Il était allongé sur son fauteuil bleu
Se demandant à la mort,
Quand comptait-elle l'appeler,

Pour pouvoir respirer ?

Sous son regard s'ammassait la terre
Des vagues bleuâtres à perte de vue
Des corps illustres longeaient les avenues.

Son corps est empli, le visage ému.

Sous ce ciel azuré qui dépeint son être aimé.

Se nomme une fille portant en sa voix,
Une crue bagatelle,

Une frêle ritournelle, rappelant à ce monsieur cet amour révolu.

𝗕𝗿𝗮𝘀𝗶𝗲𝗿 𝗡𝗼𝗶𝗿 [𝙿𝚘𝚎𝚖𝚜]²¹Where stories live. Discover now