Alba (Recueil)

L'océan

Une vaste étendue bleue
Qui en inspire de nombreux
Comment rester de marbre
Devant cette beauté incomparable

Secouée par le vent,
Ses vagues dansent souvent
Et attirent les regards
Du rêveur au fuyard
Du plus courageux
Au plus grand des peureux
Tout le monde est ébloui
Par cet azur infini

Les poètes noircissent des carnets
Les observateurs restent à contempler
Chacun à sa façon
Exprime ses émotions

On se sent minuscule
Face à ce géant qui ondule
La valse de la houle
Jusqu'à la coquille des moules
Tout n'est que merveille
Dans cette splendeur sans pareil