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Watchu mean ?

Daniellitooo

Daniellitooo

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Trois ans avant






























Étant pauvre, chaque jour qui passait je donnais ma vie à la survie.

Ma femme était tout le temps malade, sa fertilité était compliqué.

Mais j'avais l'aide de Jordy, un bon ami, qui était dans la même situation que moi.

Deux ans après Deborah a eu un enfant qu'on a nommé Jabary.

J'ai aimé cet enfant comme ma propre vie, j'avais mal de ne pas avoir de l'argent et l'élever dans ce genre de conditions.

Deborah ne supportait plus le fait de nous voir vivre dans ce genre d'endroit avec Jabary.

De son côté Jordy ne se plaignait pas, il avait une femme en or et j'en étais jaloux.

Elle était belle, douce, gentille, et elle n'était pas cupide, c'était tout le contraire de Deborah.

Chaque soir c'était la guerre dans notre maison, les seuls ustensiles qu'on avait, se retrouvaient cassé ou à terre soutenant leur solidité.

Sur le canapé, je pensais qu'aujourd'hui elle n'allait faire aucun scandale, mais c'est après avoir mis Jabary dans le lit qu'elle est venu me voir.

Deborah - tu vois aujourd'hui ? On a pas mangé à notre faim

Je relève la tête et la regarde sans rien dire, ça n'avait plus d'importance.

J'ai passé toute la journée à travailler comme un fou et il manquait plus qu'elle vienne pour me faire une de ses crises d'argent.

Deborah - je te parle junior

Moi - par ce que tu crois peut-être que cette situation me plaît ?

Deborah - oui elle te plaît ?

Moi - espèce de cupide, chaque jour qui passe tu vois pas comment je me démène pour que nous puissions mettre un bout de pain dans nos bouches ?

Deborah - je veux plus vivre dans ces genre de conditions

Moi - tu n'as qu'à partir la porte est grandement ouverte

Deborah - mais Junior

Moi - je suis pauvre et je saurai pas m'occuper de toi mais tu me laisse Jabary par ce qu'une femme aussi cupide que toi ne sait quelle amour faut-il porter à son enfant, et en plus tu aurai pu faire comme la femme de Jordy, elle ne laisse pas son mari travailler seule, elle vend au marché, elle essaye de subvenir aux besoins de sa famille mais toi t'es qu'une paresseuse, je regrette aussi de t'avoir épousé Deborah, j'aurai voulu d'une femme comme Trix

Bolingo na mbongo Where stories live. Discover now