Chapitre.9

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*Point de vue dAria*

« Euh, rien maman juste un oiseau qui cest écraser sur notre fenêtre ou quelque chose comme ça. »

« Oh, ok ma chérie. »

Quest ce quil vient de dire ? Est-ce que jaime ? Putain ! Gabriel Johnson maime et je laime.

Je mendors, je ne peux pas enlever ces mots de ma tête. Ils sont là coincés comme dans du béton. Je nai jamais eu un garçon qui me disais des choses comme sa autre que ma famille. Le matin, je ne parle pas. Je suis juste vide devant tout ce qui pourrait être devant moi. Je conduis jusquà la maison de Jasmine comme je le fais toujours. Je nallume pas la musique. Mes coupures et mes bleus sont visibles sur mes bras. Jai mis un pull pour les cachées.

Jasmine monte dans la voiture et me demande comment je vais. Je ne dis rien. Avant de sortir de son allée je me tourne vers elle et lui dis : « Gabriel à dit quil maimais. »

Mes oreilles sont automatiquement remplis de cris qui me réveillent de mon cafard. Jasmine commence à poser pleins de questions : Quoi ? Comment ? Quand ? Je lui raconte lhistoire et au moment où nos arrivons à lécole, elle se calme. La principal question quelle me pose en boucle était de savoir si je laimais aussi. Jai répondu oui.

Gabriel nest pas là, ce qui me fait cogiter. Et si il regrettait se quil ma dit hier ? Jasmine et moi sommes assises avec les garçons. Jasmine est en fait en couple avec Jules. Ils sont mignons ensembles, mais la seule chose que jai en tête, cest Gabriel. Les gars me parlent de ce que Gabriel à fait hier soir, ce qui me fait rougir. Les jumeaux mengloutissent dans des câlins. Ils sont bons pour ce genre de choses. Mais bon, pas autant que Gabriel.

Quand je rentre chez moi, il y a des roses dans mon allée. Il y a également une note disant :

Coucou mon ange,

Suis les roses et trouve moi :)

<3 M. Bad Boy

Je suis les roses jusquà la piscine. Il se tient debout avec des bougies autour de lui. Je suis vraiment confus, mais je souris à son regard. Je mapproche et il me prend automatiquement dans ses bras. Nos hanches se touchent et nos visages sont à quelques centimètres lun de lautre.

« Veut-tu être ma petite amie ? » Il sourit alors que je rougis. Je lembrasse en répondant à sa question par un oui. Quand nous nous éloignons, les trois mots sortent de ma bouche. Je taime. Il les dit en retours ce qui me rend encore plus heureuse.

Heureusement, ma mère était au travail jusquà vingt heure. Nous avons passer le reste de la journée ensemble à nous embrasser et autres...Bientôt, toutes mes blessures guérirons et jaurais lhomme de mes rêves.

The EvidenceWhere stories live. Discover now