Chronique De Kenza: In Love D'un Thug

Chapitre 3

Le lendemain je me lève, et je sens une bonne odeur de crêpes. Pour la première fois, je vais déjeuner a la maison! Je sort de mon lit, un grandsourire dessiner sur mon visage. Je rentre a la cuisine et je vois ma mère etmon beau-père en train de rigoler ensemble a faire a manger. Ils se retournentvers moi, et ma mère me prend dans les bras.

Ma mère: Ma chérie, regarde Moh a fait des crêpes!

Mohamed: Elle m'a aider aussi, elle m'a ramener les oeufs.

Ma mère: C'est pas vrai, j'ai fais beaucoup plus!

Et ils ont commencer a rigoler et a se chatoyer. Je voyez que ma mèreétait contente avec lui, je l'ai jamais vu aussi heureuse.

Mohamed: Bon, viens on mange.

Et on a mangé les crêpes qui était délicieux, et puis Mohamed devaitaller travailler donc on est rester moi et ma mère.

Ma mère: Alors, tu le trouves comment?

Moi: Ben il est gentille et je vois que tu es très heureuse avec.

Ma mère: oui, c'est vrai il me rend vraiment heureuse.

Moi: Mais j'ai pas trop compris un truc. C'est un homme qui ta mit dansl'etat dans laquelle tu étais il y a quelques jours et maintenant c'est unautre homme qui te rend heureuse. Tu as tout arreter pour un homme et pas pourta fille ?

Elle me regarde pendant quelque secondes et puis elle vient s'assoir acoté de moi.

Ma mere: Alors, ou commencer? Tu sais toi-même comment ton père m'atraiter. Quand il est parti, tu etais celle qui me faisait rappeller a lui.Meme si il était parti, a chaque fois que je te regarde, je vois ton père.Donc, ca ma pousser a faire des choses dont je suis pas fiere. Je suis desolerKenza, c'est pas ta faute mais maintenant avec Mohamed je me sent mieux etj'oublie ton père petit a petit.

Moi: donc maintenant j'ai un père ?

Ma mère: Si tu le veux mais je teforce pas mais j'aimerais bien.

Ses yeux brillait, je voyait qu'elle était contente.

Moi: Bon maman, je suis très contente pour toi mais la je doit y alleroke? A plus!

Je me lève, je m'habille et je vais comme d'hab chez Sofiane. Même si onsait embrouiller hier, j'ai besoin de le voir et de lui dire pour ma mère. Jesonne, il m'ouvre. Il avait l'aire étonner de me voir.

Sofiane: Je pensais pas que t'allait venir.

Moi: Bien sur que je vais venir...

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