Flèche de verre, flèche de fer,
Te frappe, m'attrape et fend l'air,
Fichée en ton cœur tu baisses les armes,
Tant de douleur dans nos larmes.
Mots de feu, mots d'acier,
Se déversent de ta bouche sans pitié,
Ma tête tente de rester fière,
Mais mon cœur aimerait être de pierre.
Toi, insensible tu le cries,
Car ta douleur t'a tout pris,
Et mon regard te fixe, brûlant,
Mais tu es au-delà du raisonnement.
Il y a cette douleur que l'on subit,
Vague du destin, marathon infinie,
Et il y a ce que nous nous infligeons,
Car la souffrance est une acceptation.
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Bruit.
PoéziaDans sa tête c'est trop de pensées silencieuses qui se bousculent et s'entrechoquent. Eux ne voient, n'entendent rien ; elle ne perçoit que le vacarme assourdissant de la fusion de ses idées. Alors, pour vider toute cette cacophonie qui parfois la r...