o n z e,, réalité altérée

191 57 8
                                    

paupières closes
aux fines veines apparentes

luisantes
d'un amour torride

le souffle court

baignant dans la marre de ses cheveux

fuyant le soleil
perçant
la fenêtre
de ses rayons lumineux

lui ne se gène pas
pour zébrer sa peau
veloutée

plissement des lèvres
contre l'échine

cœur brulant
sur paysage blanc cassé

fenêtre ouverte
aux grandes déclarations
froid ambiant

et papier froissé

—m.

070617

menSONGESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant