j'imagine ton corps
brûlant
contre le mien
de désir
inachevétu me glissais
au creux de l'oreille
les rêves
de mes nuits blanchestel un fantôme
tu erre dans mes pensées
qui divaguentil reste
ton parfum
qui pue la droguelaisse moi respirer
vider mes poumons
de ta conneriereprendre une bouffée d'air
fraiscomme la brise matinale
de nos balades alcooliquesalors qu'on était bourrés
d'un trop plein
d'amourles remords
me hantent—m.
100617
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menSONGES
Non-Fiction• Recueil de courts textes déguisés en poésie Photo © par Ajeet Mestry