Mon Thug Love 2

Partie 40 (Final)

Salut à tous !
DÉJÀ BONNE ANNÉE et j'espère que vous avez passé de bonnes fêtes.
Voici la dernière partie de la chronique, après presque 5 ans d'aventure et d'écriture... Je vais pas vous mentir, ça reste un soulagement pour moi de la finir avant de commencer l'année 2021, c'était mon petit objectif fixé, je suis soulagée de tourner la page et passer à autre chose. Je pense qu'il était temps. Je tiens à vous remercier profondément pour toute l'attention que vous avez accordez à cette histoire, merci d'avoir été là, pour certains depuis le début. J'espère que la fin vous plaira, j'y ai ajouté une autre petite partie, qui est comme un petit « bonus » du pdv de Neyla.
Encore bonne année à vous, je vous souhaite le meilleur, beaucoup d'amour et, la santé.
Bonne lecture !
🤍
PS : La partie est supeeer longue !!
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« Là, j'suis en paix. »

C'était la délivrance, et vous savez comme il est bon ce sentiment.

C'était comme l'amour.

J'en tremblais, mes oreilles sifflaient, je rêvais ?

Ou j'avais mal entendu ?

Moi: Il.... s'est réveillé ?

On aurait dit que mon cœur était au bord de l'implosion.

Mes yeux se remplissent à nouveau de larmes, mais celles-ci étaient différentes des dernières.

Elles avaient pas le même goût, et ça, je l'ai sentis lorsqu'elles ont caressé mes lèvres, je l'ai aussi sentis au fond de mon âme.

Il hoche la tête, un rictus se dessine sur mes lèvres.

J'étais au bord de l'évanouissement.

L'extase, le choc.... je ne savais même plus ce que je ressentais.

C'était bon.

Aydin: Je te dis ça, et, tu pleures encore plus, va falloir que tu m'dises ce qui va pas chez toi.

Un petit rire s'échappe de ma bouche.

Moi: Merci Aydin.

Aydin: Pourquoi ?

Moi: Pour tout, vraiment, pour tout, mais surtout pour ce cœur, que t'as gardé alors que la vie a été cruelle avec toi.

Il ne dit rien quelques instants.

Il m'attire vers lui, et me serre dans ses bras, sans doute une dernière fois.

Je resserre son étreinte en tremblotant, dû à l'annonce qu'il m'avait faite.

Il me relâche.

Aydin: Vas-y, j't'appèlerai.

Moi: D'accord.

Je me lève, mais étais-je apte à marcher même ?

J'arrivais pas à y croire.

Et je crois qu'au fond de moi, j'y croirais pas tant que je ne l'aurais pas vu de mes propres yeux.

Je jette un dernier regard à Aydin, qui s'en allait, et c'est en marchant maladroitement que je pénètre l'hôpital.

J'arrive à l'accueil, souffle un bon coup et redemande le numéro de la chambre d'Aymen...

PDV EXTERNE:

C'est sur le toit d'un bâtiment qui offrait une magnifique vue de leur ville que Mehdi et Awa s'étaient assis.

La tête de la jeune femme s'était posée sur l'épaule du jeune homme.

Apaisés, ils l'étaient.

Après être revenu de Belgique, Mehdi n'avait pas perdu de temps, il n'a cessé de multiplier les efforts pour obtenir pour de bon le cœur d'Awa.