Partie 39

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SALAM !!
J'espère sincèrement que vous allez bien, moi ça va Dieu merci. J'espère que le « confinement » se passe bien pour vous !
Voilà la 39ème partie de ma chronie, c'est l'AVANT DERNIÈRE partie, eh oui 🥺 J'espère qu'elle vous plaira même si cette partie dégage clairement une énergie assez pesante car c'est la fin... on sent clairement que le dénouement arrive et j'espère de tout mon cœur que vous aimerez et respecterez certains de mes choix prit pour l'écriture de la fin de la chronique. J'avais ce schéma en tête depuis un bout de temps maintenant ! En tout cas je vous embrasse fort et vous remercie pour tous les beaux messages et les votes ! 🤍
Prenez soin de vous et faites attention !
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« Chaque larme est une parade venue de l'enfer
[...]
Tu as été si compréhensif, tu as été si bon
Et je te fais subir plus d'épreuves que quiconque le devrait
Et je me déteste car tu ne veux pas
Admettre que ça te fait du mal
Je sais que ça te brise le cœur lorsque je pleure encore
Pour lui »
- Ghostin, Ariana Grande

« [...] je vais marier cet homme, je le jure »

J'avais pourtant l'impression d'être plus vivante que jamais, mais quelle douce illusion.

Je mourais.

Mon cœur s'était brisé, ce n'était pas une expression, je l'ai sentis.

Je l'ai sentis se déchirer, j'ai sentis la douleur vive.

Et s'il était mort ?

Il l'était sans aucun doute.

Il était mort, il avait sans doute perdu la vie en ayant nos disputes dans ses pensées.

En ayant nos désaccords comme derniers souvenirs.

En pensant sûrement que je ne l'aimais plus.

Je l'avais perdu, au sens propre.

Mon cerveau n'avait que cette pensée là, elle tournait dans ma tête, sans relâche, un cercle vicieux qui ne cessait pas.

Mon téléphone s'était heurté sur le tapis de la voiture, mon regard s'était posé sur Aydin.

Mais je le regardais, sans le voir.

Tout mon esprit, toute ma pensée, toute ma tête s'étaient destinés à Aymen.

Je sens Aydin s'abaisser pour ramasser mon téléphone.

Aydin: Ouais. C'est Tram.

........:.......

Aydin: Hm.

.......:...........

Aydin: Et, ils sont où là ?

..........:........

Aydin: T'peux m'envoyer l'adresse de l'hosto ?

...........:.......

Aydin: Ok. À tarplu.

J'entendais tout, mais je ne pouvais plus bouger.

Mes larmes coulaient à flot, sans arrêt, je ne contrôlais plus rien, je ne me contrôlais plus.

Il raccroche, et a commencé à me parler.

Je ne comprenais rien de ce qu'il me disait, je n'étais plus là.

Il me secoue, je tente de me concentrer sur ses mots.

Aydin: On va aller les voir à l'hôpital, arrête de pleurer.

Mon Thug Love 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant