Partie 19

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Salam, Bonjour, djarama, aw ni sògòma

Moi : oooooh tu boude parce que les gamin te regarde pas. Hahahah toi même tes un bb, si tu viens manger je te donne une sucette

lui : Ta gueule moi je veux un bisous

moi : bah demande aux petit

lui : non je préfèrent te le demander a toi. (sourire colgate:) )

en plus il a des faucettes hmmm son sourire la je voulais mourir tellement qu'il était beau. Bon bein puisque j'avais faim et que c' étais qu'un bisous je me suis assise sur son lit et au moment ou j'allais lui faire son bisous il c'est retourner et nos lèvre ce sont toucher.

Ce hataye la, connard de mes fesse, ils se moquait de ma gueule. Moi j'avais le seum donc je suis descendu en bas en trombe. Chui arriver a table et la je vois qu'il reste qu'un petit morceau de pain. Il se foute de ma gueule hein, dite moi qu'il se foute de ma gueule.

Okkk je dit rien par ce que plus tard ils vont voir je vais me venger hahahahahahah (rire de psychatré) je met au lit les jumeaux et cette fois si ces Jordan qui nous ramènent. Dans la gova je les calculais même pas. J'étaie derrière sur mon tel a ne rien faire.

Fatou et Jordan était devant en train de parler. Franchement je comprend pas Fatou comment elle peut me lâcher pour lui, on est meilleure pote et elle elle préfèrent le choisir lui. Moi je serais toujours a ces coter insha'allah alors que lui n'est que la pour quelque minute mais hassoul tout ce débat pour dire que le poulet pourrais bien me séparer d'elle en tout cas moi je la lâcherais pas pour du poulet enfin je crois hein sa dépend si il est bon.

il me dépose d'abord je lui dit même pas merci que je cour dé-jas vers mon bloc il était 23h12. Y avait les teneurs de mur qui me regarde de haut en bas hein. Moi je m'en fout je vois parmi eux Mohamed je lui fait la bise et tout puis je monde rapidos.

Arriver en haut j'ouvre la porte, je fait doucement pour que ma tante et mon oncle ne se réveille pas. Mais dès que je suis rentrer dans le salon la lumière c'est allumer comme sa. Mon oncle m'attendais assis dans le salon en plus dans le noir il s'est trop cru dans les film lui. Je lui dit bonjour et tout j'allais partir quand

lui : t'était ou ?

Moi : bah euh enfaite Mohamed vous l'as pas dit ?

Lui : si mais je veux que toi te me le redise

moi : j'étais avec Fatou chez la sœur a un amie a Momo

lui : si tu reste encore aussi tard dehors ne reviens pas ici, dans ma maison il n'y a pas de khejma.

Alors la moi j'ai ouvert grand la bouche, c'était qui lui sûrement pas mon oncle, l'homme gentille qui m'écoutais parler des heures quand j'en avais besoin. Cette homme la je le reconnais pas il me parle mal, me regarde avec de la haine et tout. Okkk je parle pas par respect par ce que c'est quand même lui qui ma accueillit quand personne ne voulais de moi.

Moi : désoler

lui : ta gueule, vas dans ta chambre

moi : okkkk (il s'est très bien parler français hein, il est venu tôt en France)

les gens vraiment ils on péter des cable deh, tchiiip on dirait je suis sa chienne ses mon oncle pas mon maître mais hassoul. Je vais dans ma chambre je range mes affaires, prend mon pyjama et je vais me laver. Je m'habille la-bas et je sors. Je vais mettre mon téléphone en charge et je cherchais je sais plus quoi quand j'aie senti une présence derrière moi.

Cette personne m'as pris par les hanche puis ma pousser sur le lit. C'était mon oncle, il faisait quoi la hein. En plus il avait les yeux rouge et pervers on aurais dit qu'il voulais me tuer.

Moi : tu fait quoi la ?

J'ai rien compris que je me suis retrouver en soutif et culotte devant lui. Mhhhh j'ai eut chaud deh, je les repousser de toute mes force mais j'ai pas réussie. A un moment il voulais enlever mon soutif j'ai pris ma lampe a coter de moi et je l'ai frapper a la tête. Il avait du sang, il a commencer a tourner dans la pièce et m'insulter de tous les noms. Je voulais crier mais il ma menacer il ma dit que si je criait et que ma tante se ramenais il dirait que c'est moi qui l'ai séduit.

Et que personne ne me croirait en plus de sa il ma dit << je ferait de ta vie un enfers pétasse, c'est pas parce-que tes bonne que tu dois faire ta maline >> starfoulah comment j'ai pu le considérer comme gentille celui la. Ces un malade. Pendant qu'il tournais en rend je me suis lever et je lui est donner un grand coup de pied dans ses cou*lle. Il s'est abaisser de douleur. Pendant ce temps j'ai attraper mon téléphone, une veste et un shirt qui traînais la.

J'ai couru jusqu'au couloir, j'ai vite fait mit mon shirt. Merde il était trop court et j'avais même pas de haut j'avais que mon soutif en dessous de ma veste. Je suis descendu en sachant qu'il y aurais les teneurs de mur mais je m'en foutais complètement. Je préfèrent encore qu'on m'insulte et qu'on me rabaisse qu'on m'enlève mon trésor, c'est tout ce qui me reste. Je suis descendu quand je suis tomber nez a nez avec...

 

 

chronique d'Aziza: une tismey devenue mère du jour au lendemain (correction)Where stories live. Discover now