chronique d'Aziza: une tismey devenue mère du jour au lendemain (correction)

Partie 25

Salam, Bonjour, djarama, aw ni sògòma

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Au moment ou il a raccrocher Jordan est rentrer dans ma chambre. Il faisait une tête bizarre. Il ses assis sur mon lit et ma pris dans ces bras. Je savais pas ce qui ce passait et sa me faisait chier, alors je me suis détacher de lui et l'est regarder droit dans les yeux.

Moi : t'as quoi ?

Lui : heuuu rien je voulais juste un câlin et te dire demain ta pas besoin de venir.

Moi : non y a pas rien, même si on vient de se rencontrer je sais quand tu vas mal. Tu sais tu peux tous me dire, c'est a propos de moi ?

Lui : non t'inquiète sa na rien a voir avec toi mon nounours

moi : hahahahah tfouuuuuuu on dirait un zemel

lui : fait hendek a ce que tu dis tu vas graille des baffe dans ta gueule pour foye.

moi : hihihihi ta le seum, en plus sa fait crari sa parle l'arabe et tout.

lui : tu sais bien vous êtes comme des fourmis vous les arabe, a la fin on parle comme vous.

Moi : et en faite tes de qu'elle religion ? Et ils sont ou les jumeaux ?

Lui : chui musulman ma gueule  et les gosse sont chez ma sœur il revienne dans deux jours.

Moi : hmm ok j'ai pas oublier hein je sais que tes pas bien mais bon tu me le diras quand tu seras près. Tu peux me ramener s'il te plaît chui faya.

Lui : azy

on est rentrer a 20heure. Dans la voiture personne parlait. Je sais que quelque chose ce passe et je vais trouver quoi. J'arrive devant mon bat, je remercie Jordan et je rentre directe y avait personne dans le hall. Je rentre chez moi y avais Moustpha dans le salon en train de regarder le foot et manger des cochonnerie pour pas changer. Je le salam même pas je monte dans ma chambre, je me déshabille me douche et met mon pyjamas.

Je fait une lessive et je descend a la cuisine. J'espérais ne pas y trouver Moustapha et YES il n'y étais pas mais y avait que ma tante. Je la salam elle me répond pas, je lui fait la bise elle recule. OK elle a ses règle ou quoi ? Je suis sûre c'est ce chien de Moustapha attendez que je l'attrape ce gros PD.

Moi : ta quoi ?

Elle : rien

moi : si ta quelque chose a me reprocher dis le moi.

Elle me regarde choquée, elle se met devant moi et me gifle mais salement putin. Si ma joue avait pas chauffée je l'aurais pas cru. Mes parent n'ont jamais poser la mais sur moi et c'est elle qui le fait. Comment vous dire j'avais envie de meurtre pas envers ma tante hein, je sais qu'elle a rien fait. C'est ce Moustapha qui la monter sur moi.

Je m'en doutais dé-jas hein. Les nouvelle vont vite dans cette cité tfoouuuuu les gens ils aiment trop ouvrir leur gueule. Je me demande bien qu'est ce qu'il a bien pu lui dire pour qu'elle me frappe. Je réfléchissait en touchant ma joue quand elle commença a pleurer j'ai voulue la prendre dans mes bras mais elle ma recaler.

Elle : je... je veux qu'a tes 18 ti quitte ma mison. Benti ji savi pas que t'iti comme sa. Je ti pris dans ma mison comme ma fille et toi tu veux faire la kehba avec mon mari. Sniffff Tu lui demande de heshek avic toi et quand il refuse ti le frappe et tu le menace. Tu me déçois beaucoup snifff ji tellement honte. Je veux pas que ti me parle laisse moi .

(je pleurais comme une ouf, je sais depuis le début je pleure beaucoup mais ses pas facile a supporter) elle est sortis de la cuisine en pleurant. A la base j'étais venue pour manger mais sa ma tellement dégouter ce qu'elle ma dit que chui directe aller nehess (dormir). Le lendemain je me réveille a 11heure je me brosse les dent, met un pagne et hop je commence le ménage ; je termine je fait ma douche m'habille.

Je met un simple jogging adidas mauve, je me fait un chignon pété et met mes air jordan noir mauve. Je prend mon petit déjeuner et sors a 13h30. Y avait que ma tante a la maison mais elle me parle pas donc c'est comme si y avait personne. Je prend le bus et j'arrive qu'as 14H4 (j'ai fait un grand effort pour arriver a l'heure) je descend et arrive au point de rendez vous. Je le vois de loin avec une meuf. Il se fout de moi ou c'est comment. Je vais vers lui déterr a l'insulter.

Moi : je croyais qu'on allais parlez a DEUX.

Lui : me soûle pas, c'est mon avocate.

Moi : me raconte pas ta vie, et dis moi chui la pourquoi

lui : parle bien tahu chui la pour t'aider. Écoute moi sans me couper je vais commencer par te raconter ce qui c'est passer le jour de l'accident de tes parent

moi : ( je m'assois a coter de sa sois disante avocate, elle avait vla de bouton sur la figure et étais blonde. Elle avait l'air sympa.) je t'écoute

lui : ce soir la....