𝙎𝙤𝙛𝙞𝙖 | Au Coeur De La Mafia

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Je suis sur le point de quitter la pièce pour me diriger vers les voitures. 

Enzo m'empêche. 

- ne me laisse pas verser toute ma colère sur toi.

- Chef, nous devons parler calmement, il nous faut un plan, on ne peut pas attaquer Ricci et en sortir vivant.

- Il a pris quelque chose qui m'appartient, Enzo.

- Je sais, mais il peut nous tuer et garder Sofia chez lui.

Je prends plusieurs minutes pour me calmer puis je descends dans le salon et je commence mon plan.

Le soleil se lève,  c'est bon, le plan est fini.

- Allons-y. 

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Je me réveille dans une chambre luxueuse. 

Je ne suis pas habillée du pyjama que la femme de chambre m'a donné, mais d'une lingerie rouge avec dentelle. 

Je me cache avec les draps. 

Soudain, la porte s'ouvre avec un fracas. 

- J'ai pris tout les risques pour toi ma jolie...

Oh mon dieu.. je me suis fait kidnappée... est-ce Vincenzo va venir? Putain.. il ne faut surtout pas que je pète une crise.

Il s'approche de moi, embrasse ma joue et part.

Je me lève du lit.

Je regarde autour de moi et j'aperçois une nuisette.

Je l'enfile.

- À ta place, je reste dans le lit sagement. 

C'est une femme.

Elle me lance un regard mauvais.

- Je ne veux pas rester comme ça. 

La porte s'ouvre avec un fracas.

Vincenzo ?

Mais non, Ricci apparaît avec un bouteille de vin.

-  MARIA PART !

La femme quitte la pièce aussi rapide qu'un chat.

Il me prend par le poignet et mène là où je devine que c'est sa chambre. 

On est seuls.

Tous les deux.

Il peut tout faire de moi, me violer, me frapper, me tuer...

Il essaye de m'embrasser, mais je tourne la tête. 

- Tu ne voulais pas ta drogue aussi ?

Il lève un sourcil.

- Tu n'as pas peur de moi? Je pourrais bien te montrer quelques règles à ne pas briser...

Il me prend par les cheveux brusquement,  je gémis.

- Un : Tu restes silencieuse. 
Deux : Tu m'obeillis 
Trois : tu m'appartiens. 
Quatres: N'essaye jamais de t'enfuir. 

Je l'interrompt, n'ayant aucun respect pour ces regles.

- Vincenzo va venir.

Il me gifle si fort qu'il m'envoie par terre. 

Ma main se coupe, je ne sais comment. 

Il s'accroupit et me regarde avec inquiétude. 

- Tu t'es fait mal...