Partie 38

30 3 1
                                    

Enfin arrivé de retour à mon chez moi de Marrakech, je m'y suis un peu attaché à vrai dire.

Je vais direct dans mon lit comment je suis éclateé, mes yeux se ferment tout seul et piiiique.






-...-






3 jours plus tard

Je vais vous passer 3 jours, car ils s'est rien passé d'intéressant mis à part Hafsa, comment vous dire que on est en guerre, je la déteste comme elle me déteste j'peux pas vivre à côté d'elle, elle perturbe mon espace vital.

Depuis qu'on est rentré je me suis remis à la prière, parce que oui j'avais arrêté, heureusement que y'a ma mère puisque c'est grâce à elle, sinon j'aurais jamais repris.

J'étais posé dans le salon à essayer de comprendre la télé, je m'en sors pas mal mais c'est pas trop parfait.

Ma mère: NAÏSSA?

Moi: OUAIS CHUI DANS LE SALON LA

Je vois ma mère descendre des escaliers :

Ma mère: Viens on va à la mosquée

Moi: vas-y

Ma mère: biensur ce sera pas la même chose qu'en Algérie mais mehlish

Moi: mais tu veux quoi orh

Ma mère: va va va t'habiller

Moi: ouais j'arrive

Je monte dans ma chambre mettre mon jilbeb j'en avais acheter 2 au marché, un noir et un rose clair.

Je sors de ma chambre et croise Nail.

Nail: selem

Moi: selem

Nail: tu vas à la mosquée la ?

Moi: ouais

Nail: ah ok

Moi: tu veux venir ?

Nail: ouais vas-y

Il part ce préparer pendant que moi je descends rejoindre ma mère, on attend Nail et on pars.

De chez moi y'avait à peu près 10 minutes de marche.

On arrive à la mosquée, elle était joli propre le kiffe. Nail va du coté hommes et ma mère et moi côté femmes.

LOGIKKK MMMDR

On fini de prier et se dirige vers la sortie, c'était un peu gênant parce que on était obligé de passer par le côté des hommes.

Ma mère traînait derrière moi tandis que moi je me dépêché, jusqu'à j'entends une voix d'homme:

Un gars: eh toi !

Je me retourne et je vois un gars qui me montre du doigt, je le regarde de traver et me pointe du doigt à mon tour:

Moi: moi?

Le gars: ouais, je crois ma mère elle cherche ta mère

Moi: ah bon ?

Dénoncer m'a fait souffrir Where stories live. Discover now