Chapitre 38

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Salam Aleykoum,

Le lendemain, j'étais chez moi. Je révisais le code à fond quand je reçois un appel de Djibril.

Djibril: Descendez.

Moi: Je révise là, non c'est mort.

Yacine: On a une surprise pour toi.

Mdrrr, faut pas me le dire deux fois. Je descends et je vois Djibril et Yacine.

Yacine: Ouvre le coffre.

Moi: J'ai peur.

J'ouvre et je vois un petit album photo avec nos photos. Il y en a de Marseille, de quand on travaillait, dans la voiture, bref, c'était chou mdr.

Yacine: Vas-y ça se voit, t'es pas bien ces derniers temps. Du coup, on s'est dit qu'on allait t'offrir ça.

Djibril: T'es comme une reus pour nous, si y a un souci, tu peux en parler.

Mes vies, je les aime trop mdr. Donc, je les prends dans mes bras, mais je ne suis pas prête à leur dire pour Abdoul.

Moi: Merci, ça me fait plaisir.

Yacine: Elle est là Jihane?

Moi: Vous deux je comprends rien.

Yacine: Y a rien à comprendre, attendez seulement.

Bref, je parle un peu avec eux. Puis, ils devaient partir. Sur la route pour rentrer, je croise Imran.

Imran: C'est quoi?

Il prend l'album et regarde les photos, il froisse son visage.

Imran: T'es Sah là?

Moi: Mais c'est des potes, toi même t'as dit tu me fais confiance, y a rien là t'abuses. Et je te préviens que à Marseille on n'était plus ensemble parce que t'as fait le con!

Imran: Déjà, parle bien avec ta bouche, j'vais te niquer et j'm'en blc, t'as pas besoin d'album photo.

Moi: Mais c'est rien, c'est un cadeau.

Imran: Je t'en offre tous les jours des cadeaux si tu veux ! C'est pas aux autres de t'offrir.

Mdrrr, il était jaloux mais y'a pas. Je les considère comme des frères alors que Imran à ce moment-là, je le considérais comme l'homme de ma vie.

Moi: Mdrrr, t'es jaloux en fait.

Imran: Vas-y, casse-toi !

Moi: Moi aussi, je t'aime.

Après l'avoir dit, j'étais gênée mdr. La dernière fois, on se l'est dit mais c'était l'émotion.

Imran sourit, puis il part. Moi, je rentre. Souley était en train de manger avec Ibrah. Je vais dans ma chambre poser l'album, puis je reviens.

Ibrah: T'es partie cacher quoi?

Moi: Rien, elle fait quoi Jihane?

Ibrah: Elle révise elle a des partiels. Toi, tu fous quoi de ta vie?

Moi: Laisse-moi mdr, je prends une année.

Souley: Révise au moins le code, comme ça je te paie le permis et ta voiture.

Moi: Merci, mais non t'inquiète j'ai mes sous.

Après ça, je reste avec eux. On faisait des débats, c'était hella, jusqu'au moment où Hawa m'appelle.

Moi: Allo?

Hawa: T'es seule?

Moi: Attends.

Je me lève et pars dans ma chambre.

Chronique de Aïda : Le seul qui a su me faire sentir aiméWhere stories live. Discover now