Chapitre 66

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As Salam Aleykoum,

Après la gifle mon père m'a regardé avec un regard je m'en rappellerais toute ma vie... son regard était différent du début...

Papa : Juste parce que tu l'aime pas t'es partie inventer histoire de sorcellerie Aïda ? Tu te rends compte ? Tu creins pas الله tu peux enlever ton voile.

Chaud il a tout whipping.

Moi : Mais papa... c'est vrai

Cette sorcière a bien reussi son coup, son marabout il est puissant.

Papa : Tu veux que gâcher mon bonheur, moi pour le tien je m'embrouille avec ma famille... mais c'est fini tout ça.

Il fouille mon petit tiroir ou y a mon téléphone, mon passeport et mon billet retour, il déchire mon passeport et billet sous mes yeux. J'étais en pleure, quant a mon téléphone il l'explose et récupère la carte sim.

Papa : Ce que t'as fais c'est très grave mais t'es tombé sur plus fou que toi.

Après ça il part et m'enferme à clef. J'ai pleuré, j'essayais par la fenêtre de crier mais il a interdit à tout le monde de me parler.

J'avais espoir que Abou allait venir me chercher et m'aider mais après 3 jours j'ai fini par arrêter d'espérer.

Ça fait 3 jours je suis enfermée. Mon père vient me ramener à manger minimum mais à part ce je fou rien de ma journée, si ce n'est que pleurer, prier et faire des duuas.

Mon père vient me ramener mon plateau de thieb.

Moi : Papa... je peux sortir je suis désolée.

Mon père me regardait avec pitié, je pense que il est redevenu normal.

Moi : S'il te plaît papa.

Papa : D'accord mais tu mens plus !

Moi : Oui.

J'avais la haine pour mes papiers, je devais aller au consulat au plus vite bref je decsneds en bas je vois ma belle-mère et mes tantes.

Djey vient me prendre dans ses bras.

Djey : T'as fais quoi comme bêtise encore ?

Belle-mère : Elle fait quoi ici ? Enferme la c'est une folle ta fille.

Papa : Je pense que c'est bon, elle a compris ?

Belle-mère : Elle a pas compris renferme la ?

Papa : Mais...

Belle-mère : JE VAIS PAS LE REPETER DEUX FOIS ?

C'est un prank ? D'où elle hausse le ton elle ?

Moi : Pourquoi tu cris ?

Papa : Aïda montes !

Moi : Mais papa ?

Papa : J'AI DIT MONTES !

Je suis montée, j'avais plus la force de me battre je me suis couchée sur mon lit et j'ai dormi.

Le lendemain j'me lève, je vais me doucher et tout puis mon père me renferme dans la chambre.

J'ai prié, puis j'ai fais des invocations et j'ai pensé à lui ...

Je suis sortie de mes pensées quand j'ai entendu Djey.

Djey : Je vais sûrement me faire tabassée mais tiens.

Elle fais passer un kinder par le trou mdr.

Moi : Abou il fou quoi ?

Chronique de Aïda : Le seul qui a su me faire sentir aiméWhere stories live. Discover now