La vérité a un goût amer

"Relachement"

Le lundi qui suivi le décès de gazelle, l'odeur piquait vraiment et on attendait l'équarrisseur puis un camion avec une odeur de mort arriva...j'étais dans le box d'une jument...Je m'efforça de ne pas regarder. J'entendis le moteur démarrait, le camion fit demi tour et parti chargé de gazelle et du combat perdu...
Je pris la jument et à croire qu'elle sentais ma tristesse, elle fut d'un calme sans nom et ce jour-là,j'étais heureuse d'être sur elle...je ne voulais pas m'arrêter et pourtant il le fallait .

Tout au long de la semaine je luttais pour ne pas m'effondrer chaque fois que je voyais le box...mon coeur se serrait...Le jeudi, on vida le box...ce fut dur mais cela permettait de ramener Les chevaux en box et loin du pré infecte !
Le vendredi, on fit le transfert des chevaux...il y avait des jeunes plus ou moins sauvages, La nuit tombait et on se devait d'avancer...j'étais de tete et dernière j'avais des chevaux en liberte... j'appréhendais mais on y arrivait !
Quand on arriva, on mit les jeunes en box...un sauta et tombât sur la dalle...ce fut des soins en suivant...entière on ne savait pas et je n'ai jamais su vu qu'elle ordonna qu'on Les relâche rapidement dans un pré...

Puis le week end arriva, comme depuis une semaine je faisais les cours de l'après midi sauf un que Sandra faisait.
L'exercice ne venait pas, j'avais du mal...alors que Sandra me demanda de venir la voir, je fondi en larmes...première fois qu'elle me voyait pleurer et je me sentais mal...elle voulait que j'arrête...Je repris mes nerfs et exécuta l'exercice
Le soir, j'allais chez Sandra et à partir de ce soir La...Je su que je pouvais compter sur elle jusqu'au bout.

Nous étions en Novembre 2016,
Le froid arrivait,
Nous étions en Novembre 2016,
La confiance arrivait