Chapitre 6

1 0 0
                                    

J'avais un mal de tête a réveillé des morts, je sentais du parquet sous moi. Donc mon inconscience ne devez pas avoir durez trop longtemps surtout vue l'odeur de bruler. Me retournant je vis Bastien soutenir le tuteur qui au passage ne nous avez toujours pas dit son nom. Il le déposa sur un lit de camps puis vint vers moi me prenant dans ces bras sans vérifiais si j'étais consciente ou non. Il me posa délicatement sur un deuxième lit puis commenças à guérir le tuteur. Il avait un bras casser et était ouvert à la tête son corps était couvert d'égratignures avec quelque brûlure. Zut, j'y était allez un peu fort, mais j'étais amocher également il avait bien fallu que je me défende. Bastien ne pouvez pas le soignez totalement alors il se tournas vers moi et vus que j'étais consciente. Une lueur moqueuse s'allumas dans son regard.

-Alors on énerve le grand méchant Loup. Dit-il.

- L'agneau ne voulait pas se laisser manger. Répondis-je.

Il mit ses paumes sur ma gorge et commenças me guérir des brulures que je n'avais pas sentie jusqu'à la.

-Tu as de bon réflexe. Son ton semblé admiratif. Je me demande qu'elle sorts tu as utilisé s'il ne ce n'était pas protèges il serait mort.

-C'est un sort de répulsion contenant un sort explosif. Lui concédant cette explication.

-Je voie mieux comment il a pu passer les défenses du tuteur. Il me fit un sourire. Le voir valdinguer commenças c'était à mourir de rire surtout quand ton sort a brisé sa barrière. Il a fait une de ses têtes. (Il éclata d'un rire qui me contaminas rapidement ne pouvant m'empêcher d'imaginer la tête du tuteur.) J'en riez tellement que j'en avais mal au côté. Quand notre fou rire fus termines, j'essayas de me lever me laissant percevoir ma robe abimer. Bastien se détourna pour venir en aide au tuteur qui c'était mis à grogner de douleur. Je me mi debout puis m'avança vers le blessai.

-Laisse-moi m'occuper de ses blessures.

Bastien s'éloigna du lit. Ces yeux reflétés des questions qu'il n'osée me posez. Je me laissai choir à genou près du lit. Je regardés ses blessures sous plusieurs niveau et vus que de minuscule morceau de verre d'une lampe c'était incrustée dans les blessures ainsi que quelques autres circuler dans son corp plus profondément.

-Bastien appelle la guérisseuse. Il partit avec sa vitesse de loup sous la force de ma détresse.

Je soignée les brulures en attendant leur retour quand un des morceaux de verre créa une hémorragie interne en rentrant dans une grosse veine puis les morceau accélérèrent comme guider par une force extérieur. Il allait mourir, je ne pouvais rien faire. Si je me souvins d'un chose que je pouvais faire, j'appela mon pouvoir. J'allais stoppez le temps.

-Tempus noder tempus deteim paris frys, Tempus noder tempus deteim paris frys.

Le pouvoir arrêtant le temps autour du tuteur mais cet tais éprouvant comme courir un marathon en sprint avec un sac de 100Kilo sur le dos. Du sang commenças à me coulais des oreilles et des yeux, je tenais le sort depuis seulement quelque minute quand le monde commencer à tourner. La porte finis s'ouvris sur une ombre qui pénétras silencieusement dans la pièce. Elle se mis face à moi je n'arriver pas à reconnaitre l'identité de cette personne mais je pouvais tous de même dire que c'était une femme et pas la guérisseuse de l'académie. Je faiblissais encore le sort pomper toute mon énergie. La femme leva une forme que je devinai être un poignard au-dessus du corps. Je ne pouvais bouger si j'arrêter le sort il mourrez. Je réfléchis à comment le sauvez mais je ne voyais pas de solution. La femme abattit le poignard mais un fois la pointe dans le corps il ne bougea plus pris au piège dans le temps. Elle tira de toute c'est force sans parvenir à retirais sa lame. Elle tourna son visage vers moi, je ressentie la colère qui emplissais sa conscience. Elle m'en voulait de faire capoter sa tentative de meurtre. L'ombre de sa main ressortie un poignard. Elle voulait me tuez également mais avec souffrance compris je quand sa lame s'abattit sur moi laissant une estafilade profonde sur ma poitrine. Je ressentie une grande douleur ainsi que du poison se répandre dans mon corps. Le poison enflamma ma blessure se répandant dans mon corps. La femme attendait debout face à moi que je m'écroule mais j'avais subi de pire torture qu'un peu de poison. Ne me voyant pas m'écroulait au bout d'un temps elle sortit une nouvelle chose que je ne reconnus pas ma vue faiblissante. Se penchant elle mit son visage près du mien comme pour me donner la bise.

La rage de l'origine *essaie 1*Where stories live. Discover now