Uno

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Ce samedi là j'étais assis dans ce bar,je sirotais mon whisky-coca et regardais des meufs dénudées se dandiner devant les vieillards

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Ce samedi là j'étais assis dans ce bar,je sirotais mon whisky-coca et regardais des meufs dénudées se dandiner devant les vieillards. En général je n'avais aucun rapport avec elles,non pas par respect mais parce que je les trouvais toutes laides et superficielles.

Mais ce soir là,il y en avait une qui attirait particulièrement mon attention. Cette brune petite brune aux longs cheveux,aux yeux de feux et à la peau très matte.
Je pouvais pas m'empêcher de la regarder,pourtant elle ne faisait rien de spécial,non elle n'avait pas besoin de ça pour attirer les hommes. Le charisme était inscrit dans ses gènes.

Elle était assez sexy je pouvais pas le nier,elle portais un ensemble noir en latex ainsi qu'un masque noir de la même matière qui avait la forme d'une tête de lapin,je ne voyais pas la totalité de son visage mais je savais qu'elle était jolie et puis son regard dégageait vraiment quelque chose mais je ne savais pas quoi.

- La brune là bas,tu l'as connais ? Je demandais à un vieil homme.

- Non. Sûrement une nouvelle dans le milieu. Il me répondait en se servant un énième verre.

Ja savais pas pourquoi mais je m'étais levé,je ressentais le besoin de lui parler,ce fut presque automatique.

Je me dirigeais vers elle.

Elle me toisa un long moment tandis que moi je jouais les mecs confiants. Elle n'avait pas l'air impressionnée et ça m'énervait.
On ne résistait pas à Justin Bieber.

Je m'avançais cette fois - ci réellement près d'elle.

- Je t'offres un verre ? Tentais - je.

- Non merci,je bois pas. Répondit - elle toujours aussi indifférente.

Elle avait une petite voix.

- Ton numéro ? Insistais - je.

Elle secoua négativement la tête.

- Un rendez - vous ?

Toujours pas.

- Tu baises ou pas ? Je dis en commençant à perdre patience.

En réalité je voulais même pas me vider en elle,je voulais juste lui parler. Elle m'intriguait.

- Six cent dollars. Répondit elle enfin.

Ça me fit un mal de chien d'entendre ça. C'était la somme que je gagnais en une soirée de vente,tout claquer comme ça pour une prostitué ça faisait mal.

Je lui donnais alors l'argent qu'elle rangea directement dans sa lingerie.

La faiblesse de l'homme c'est la femme.

Elle me guida alors jusque dans une chambre assez luxueuse. Elle s'assit sur le lit et je fis de même.

- Inutile de te déshabiller,l'a prévenais - je.

Partner in crime                                                          Where stories live. Discover now