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Moi : t'inquiète y aura aucun voyou dans mon
téléphone

Houssam : tant mieux

Moi : mais quand j'dis aucun c'est aucun !

Houssam: ah?

Il m'a regardé en souriant je voulais lui faire
comprendre que l'image qu'il se donné était pas
celle que je voyais.

Moi : bah.... oui.

Il me regardé en souriant j'étais déstabilisé!

Moi : oué... t'es pas un voyou houssam

Houssam : et j'suis quoi alors?

Il a prit sa plus grosse voix ... ya allah cette
sensation que je ressentais face à son sourire je savais pas quoi répondre je me frottais le visage
sans grande réponse qui apparaissait.

Moi : t'es pas un voyou houssam c'est bon

Houssam : ah tu penses plus ça ?

Moi : j'l'ai jamais pensé

Houssam : ah?

Moi : wallah

Houssam (souriant) : vas-y rentre

Moi : oui salam aleykoum

Houssam : aleykoum salam

Il m'a fait son plus beau sourire et j'ai fais demi
tour en direction de ma porte, j'étais comme sur un nuage!!!!!

Je m'envolais de bonheur c'est en passant le pas de la porte que j'entend

... : Intisssaaar

Je me retourne et je vois Houssam passé la porte
de l'escaliers

Houssam : wallah on est con

Il me montre le téléphone qu'il tenait encore dans
sa main.

Houssam : tiens

Il me tend son bras puis prend le mien dans sa
main. Et colle le téléphone avec sa main dans la
mienne toujours en souriant.

Ce contact physique juste ce minuscule contact avec sa main m'a fait planer mon coeur et mes jambes tremblaient il avait toujours sa mien sur la mienne, ma tête était baissé il approche sa tête de mon visage

Houssam : salam aleykoum intissar

J'allais en mourir ! mais j'me suis contenté de lui
rendre son sourire et de répondre à son salam
timidement.

J'étais sûr sûr que cette putain d'histoire aller me
détruire petit à petit parce que rien n'état hallal, le
monde dans le quel on vivait la misère dans la
quelle on baignait résulter de ce hram total.

Je voyais mes frères, les hommes que j'aimais se
noyer dans cette océan de pêcher. J'avais cette
persuasion au fond que cette histoire aller me
mener à ma perte. Mais j'étais jeune ignorante et
malgré les milliers de mises en garde de ma soeur j'en prenais pas compte.

En moi grandissait un amour incontestable chaque
jour, chaque soir quand le petit téléphone de
houssam se mettait à sonner c'est mon coeur entier
qui tremblait. Je connaissais que le bon côté de
houssam, que le côté que j'avais toujours voulu
voir, le seul. Je voyais que le houssam telle que
j'avais appris à le connaître, en manque de
confiance de lui, gentil calme et doux.

Je voyais que ce que je voulais voir et je m'attachais à une personne qui n'était finalement qu'une facette.
Les jours défilaient, l'absence de mon frère creusait
un énorme faussé dans notre famille entre mon
frère sald et nous. Mohamed avait laissé une
énorme plaie ouverte.

La Chronique d'Intissar : Mon thug loveWo Geschichten leben. Entdecke jetzt