Ils vécurent heureux, mais pas dans les mêmes bras. T1 / T2 { REECRITURE }

21.

Ou ils l'emmène ?

Pourquoi faire ?

Yassine et Ibrahim sont vraiment mort ?

Soudain, alors qu'elle est en pleine réflexion, elle reçois un coup à la tête.

TROU NOIR...

POINT DE VUE SARAH :

Ma tête... Putain ma tête me fais mal. 

J'ai mal de partout, mes jambes me brûle, j'ai froid et j'ai mal aux reins, j'ai une nausée atroce...

J'ouvre les yeux mais je vois rien, quelque chose m'en empêche. Je sent un courant d'air sur mes bras nue. Je suis assise sur ce qui me semble être une chaise, mes mains sont attaché dans mon dos.

J'ai vraiment froid là.

J'entend des voix d'homme loin de moi, je bouge plus. Des bruits de pas résonnes et les voix se rapproches jusqu'à que je sente leurs présence juste à côté de moi. Je me sent vraiment pas bien du tout, j'ai peur.

" Enlève lui "

Le tissus qui me bandait les yeux s'arrache brutalement de mon visage. J'ouvre petit à petit les yeux, et je les vois. Les 3 hommes se tiennes devant moi, ils me dévisages.

Les 2 homme assez âgé se ressemble mais sont des contraire. Je m'explique : Rayane, qui est donc mon père si j'ai bien suivis, est un homme d'au moins 1,80m, les cheveux gris. Il a de petit yeux vert en amande, il a des rides assez prononcé sur les joues.

 Il le même nez que moi, non, j'ai le même nez que lui.

 Cette réalité me dégoute.

Il essaye de se tenir droit mais c'est un homme tassé et qui a le dos courbé, il est certe bien habillé et bien coiffée, mais il n'est pas comme les 2 autre hommes. 

Il lui manque un truc. 

Il fait semblant, c'est un acteur. Aucun charisme ne se dégage de lui, rien. Il n'est pas à sa place dans ce costume et au côté de ces hommes. A l'inverse, l'homme qui se tient à sa gauche, est aussi vieux que Rayane, mais lui il dégage vraiment quelque chose, sa présence est imposante. Il se tient droit et à une canne noir avec une pierre doré au dessus. Ses yeux noir me fixe avec...

 De le bienveillance ?

Non je me trompe.

 Ses yeux sont juste dépourvue de haine et d'animosité.

Le plus jeune d'entre eux me fixe.

Il me dévisage, il plante son regard tout au fond me moi. C'est comme si il lisait en moi, comme si mes pensées s'affichais en grand sur ma face et qu'il est le seul à les voire.