Ils vécurent heureux, mais pas dans les mêmes bras. T1 / T2 { REECRITURE }

25.

Selem Aleykoum mes pépitas<3  

Je suis trop contente d'être arriver à ce stade de l'histoire, c'est vrai que le début est un peut ennuyant et moins bien écris mais je suis pas déçu de mon travail. Ecrire c'est trop libérateur je trouve, si je pouvais postez tout les jours je le ferais même à 6 du matt ! Pendant les vacances j'essaye d'être plus active mais c'est pas toujours facile mdr.

Bon, j'ai besoin de vous. Donnez moi vos avis sur la chronique :

Les personnages : 

Vous aimez le tournant qu'a pris l'Histoire ?

Répondez svp sa m'aide pour la suite. Celles qui commentes, et qui lises vrm j'vous love, coeur sur vous mes pépitas<3

Bonne lecture !       ( ! NDA à la fin du chapitre)

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Je vêtis mon masque de l'indiférance.

Une musique est jouer par des violonistes, une mélodie qui m'entraine dans cette dangereuse valse du chaos absolu...

Je me place aux côtés de mon père et commence à manger. Esteban et Rayane entame leurs habituels conversation hypocrite. Je jette un coup d'oeuil à l'extranjero. Elle ne mange pas, elle fixe son assiette pleine mais ne mange rien. Son verre devant elle est plein lui aussi, mais elle n'a pas l'air d'y avoir bu. Elle m'énerve, sa tête de fatiguer, j'ai envie de la secouer pour qu'elle se réveil. Son teint est gris, ses cheveux bouclées ont gonflés sur sa tête. Elle fait peur à voir.

" Esteban- Caleb, te encargaste de eso ?( tu t'en ai occupé )

Moi- Si 

Esteban- Algo nuevo ? ( du nouveau )

Moi- No. "

Non, j'ai toujours rien trouver de nouveau et sa commence à m'taper sur les nerfs. J'ai besoin de réponse à mes questions, la situation m'échappe et je peux pas laisser faire. J'accepte pas qu'ont me la mette à l'envers. Quelqu'un c'est permis de me prendre pour un con et c'est pas normal. Sa ne devrait pas être normal, personne n'a le droit de me prendre pour un trou du cul. Personne.

Ont l'a met pas à l'envers à Caleb De Alvarez.

Jamais.

POINT DE VUE SARAH :

Le repas se poursuit au rythme des voix d'Esteban et de Rayane, Caleb est arrivé en amenant avec lui une odeur infecte mélangé à celle d'un parfum. Celui que j'avais sentis dans sa chambre. Il porte une chemise froissé et un pantalon délavé, ses cheveux sont encore un peut humides, ils tombes sur son visage ce qui assombrit son regard plus qu'il ne l'est déjà. 

Ses yeux couleur miel m'ont fixés pendant quelques secondes qui m'ont paru être des heures. Une étrange lueur demeure dans ce regard de braise, une lueur que je ne saurais qualifier mais qui m'effraie. Une noirceur déroutante s'émane de cet étrange personnage, j'ai l'impression que cet homme est toujours sur les nerfs. Sa jambe gauche bouge frénétiquement pendant qu'il mange, les sourcils légèrement froncés il regarde dans le vide. Comme s'il n'avait jamais connu la paix, comme s'il était constamment préocupé et sur la défensive, qu'il se méfiait de tout et de tout le monde.