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Elle se retourne, et plonge ses yeux dans les miens.

Ces yeux...

Je les connais.



Point de vue Sarah :

Noisette sont les iris qui me transperce. 

Elles lisent dans le livre chaotique qu'est mon âme, cramé par le passé et incertaine du futur. Et si j'avais pu m'envoler, je l'aurais fais, j'aurais quitté cette terre, celle qui me hante de nuit comme de jour. 

Et si la lumière du Soleil éclair réellement la rétine lorsqu'il fait noir, alors elle la brûlera par cette même clarté aveuglante. Elle la réduira en cendres jusqu'à ce qu'aucune lumière ne lui parvienne. Mais malgré cela, notre chère rétine s'efforçera de la contempler, envouté par sa beauté...

Il plonge ses yeux dans les miens.

Je le déteste.

Je sais pas pourquoi, mais une partie de ma tête me dit que je le déteste. Il parle mal et c'est un homme violent qui ne semble avoir de respect pour personne.

Je suppose que c'est la raison pour laquelle je le déteste.

Je regarde au fond de ses yeux, mais seul la froideur et l'animosité persiste au milieu de ces yeux de braise. 

" Lui- Où est Andrès. -sec-

Moi- Il est partit nous chercher à boire. "

Il m'attrape violament le bras et m'attire vers le stand à boisson. Je laisse échapper un gémissement de douleur qui le laisse indifférent. 

J'aperçois Andrès qui est de dos. 

Il se retourne.

" Caleb- Fait tes prières par ce qu' j'vais..."

Il n'a même pas le temps de finir sa phrase que Andrès se retourne en sursaut et renverse le contenue des gobelet en carton qu'il tenait.

" Andrès- Oh putain ! -rire-

Caleb- Andrès... "

Sa chemise blanche est maintenant taché de rose clair et des éclaboussures ont attéri sur son visage qui se crispe. Il sert les poings mais n'a toujours pas lâché mon bras.

" Moi- Tu me fait mal là. "

  Il fait vraiment peur, comme si d'une seconde à l'autre il allait explosé et tous nous explosé. Andrès soutient son regard, mais finit par baisser les yeux sur mon bras.

" Andrès- Caleb, lâche la.

Caleb- Ferme ta gueule, sa fait 1heure j'vous cherche !

Andrès- Lâche...

Caleb- Soy un idiota, eso es todo ?! (je suis un con moi, c'est sa) . Sa fait... "

Andrès fronce les sourcils.

" Andrès- Deja caer su maldito braza de mierda ! (lâche son putain de bras, merde)

Ils vécurent heureux, mais pas dans les mêmes bras. T1 / T2 { REECRITURE }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant