Evasion

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pdv Sanzu :


Ca fait trois jours que Ran n'est pas venu me voir à l'hôpital. Et s'il s'était moqué de moi ? Et si tout ce qu'il m'avait avoué était un mensonge ? ...non ! Je ne veux pas y croire ! 

Je saute de mon lit, et malgré la fine douleur qui me transperce les jambes, je me dirige à la fenêtre. Il faut que je parte d'ici. Je ne supporte plus d'être éloigné de lui aussi longtemps. J'ai besoin d'être près de lui, de sentir sa chaleur m'envahir et cette sensation si agréable dans le bas de mon ventre.

J'essaye d'ouvrir la fenêtre. Sauf que bah en fait non puisqu'elle est verrouillée ! Bon, c'était un peu prévisible étant donné que nous sommes au deuxième étages. Et la porte d'entrée aussi comme par hasard !


Sanzu : Tch. C'est chiant ça. 


Mon regard est soudainement attiré vers le haut de mon armoire. J'ai deux questions.

De un, pourquoi il y a une barre en fer ?

Et de deux, pourquoi sont-ils aussi cons ?


Sanzu : héhé. ouais, on va faire ça.


Je me mets sur la pointe des pieds pour l'attraper, mais je suis trop petit. Elle fait au moins deux mètres cinquante cette foutue armoire !

Je me retrouve alors à déplacer mon lit, oui comme les gosses. Et je peux me permettre de faire un commentaire ?

Non ? Bah allez vous faire foutre.

Je me mets à parler tout seul, ça va pas du tout...

Sinon je voulais dire que le lit il est fait en quoi ?! Il est plus lourd qu'un rocher j'ai juré !


Au bout d'au moins un putain de quart d'heure, j'arrive à emmener le poids lourd qui me sert de lit jusqu'à l'armoire. Autrement dit, J'AI LA BATTE ! YEEEES !!!

Maintenant, mise en œuvre du plan. Première étape !


J'appuie sur l'espèce d'alarmes pour faire venir les infirmiers. Aujourd'hui, c'est censé être une femme qui doive venir. Ce sera d'autant plus facile.

Des bruits de pas rapides se font entendre, et je me cache derrière la porte. J'entends le bruit d'une clé dans la serrure, puis, la porte s'ouvre, laissant entrer une magnifique femme vêtue d'une blouse blanche.

 J'entends le bruit d'une clé dans la serrure, puis, la porte s'ouvre, laissant entrer une magnifique femme vêtue d'une blouse blanche

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Je la frappe de toutes les forces qui me restent avec ma batte en pleine tête, en faisant bien attention de ne pas la tuer. Elle m'a sauvé la vie, elle et ces collègues. Je vais donc les laisser en vie pour l'instant.

Le malheur d'une vieTempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang