Harbor le monde oublié

"Juste prendre l'air et accessoirement retrouver tes menottes"

- Partie ? Me suis-je écrier.

- Eh bien, Haden, comme tu peux le voir, il n'y a plus personne sur le lit et il n'y a même plus les menottes. C'est dommage je les aimais bien moi ces menottes c'était du solide. J'ignore encore comment elle à réussie à s'en défaire m'enfin bon. Au boulot. Relativisa le vieux bigleux.

- Où est l'inverseur de puissance Gary ? Ai-je demander.

Il me regarda et resta figer instant de dépit pour ensuite relativiser.

- Y en a tout un carton dans le grenier. Les modèles sont obsolètes mais ce sera pas difficile à retaper, ils seront même meilleurs que l'ancien. Une petite larme scintillante coula des lunettes épaisse de Gary, il n'a jamais aimer l'injustice surtout si cela concernait la perte de son matériel en toute connaissance de cause. Le garçon préféra ne pas insister en disant que ce qu'il y avait dans le grenier ressemblait plus à des éléments de synthèse rouillés bon seulement pour la casse.

Gary se mit à façonner un début de prothèse pour colonne vertébrale. Je n'ai jamais eu grand chose d'intéressant à faire ici. Gary ne m'a jamais laisser toucher son travail, il me donnait des composants et avec je pouvais construire ce qui me plaisais. Seulement à part faire de l'art je n'ai jamais rien su faire autre que des automates qui dansent entre eux et toutes sorte d'autres trucs bizarre comme des masques et des mécanisme à verrou coder assez ingénieux. Les menottes sont une de mes inventions. J'ai toujours aimer l'harmonie des corps et la musiques qui leurs permet de s'enflammer, lorsqu'un rythme, un son, un tempo atteint mes oreilles je suis pris d'excitation je me sens devenir une pile qui doit être canaliser par quelques pas de danse. Seulement, Gary avait été claire : "Tu n'auras jamais de musique, c'est inutile et contre productif la musique te rendra mauvais et oisif, Toi et moi ne souhaitons ni l'un ni l'autre." Je n'ai pas envie de construire quoique ce soit, j'ai plus important à faire. Répondit ma petite voix intérieur.

- Gary, je sors dehors prendre l'air. Me suis-je exclamer ignorant sa réponse en supposant la plus négative ou ironique.

- Si tu veux mais ne va pas au quartier de Korne O'muse sinon je le saurais. Dit il le regard toujours coller sur son travail sans pouvoir contempler mon regard d'illumination.

- Tu vas faire quoi au faite ? Demanda Gary.

- Juste prendre l'air et accessoirement retrouver tes menottes. Ai-je répondu.

- Okay... Attend, quoi ?? Dit il en relevant la tête de son travail. Mais le garçon était déjà partit, Gary Finch secoua la tête en signe d'incertitude. Rien de bon n'allait arriver, pour lui c'était claire. Il s'arrêta de travailler et sortit un trousseau de clé, il s'empara de la plus petite clé et alla dans la cave.

Le jeune garçon marchait dans les rues rouiller de la cité Dayron. Il regardait au ciel la tête levé, puis observait les passants. Tous avec des dégaines et allures qui surprenait plus que tous le jeune garçon. Le plus intéressant lorsqu'il regardait les passants était surtout de sentir leurs regards discret interrogateur sur la raison de cette contemplation. Parfois les regards était livides, menaçants, agressifs et parfois même flattés de l'attention qu'on pouvait leurs porter. Comme les rues de fer étaient remplies de tuyauteries toutes plus épaisses et toujours plus rouiller les unes aux autres et parfois même dans un cuivre sali assez sombre, le jeune homme préférait aussi lever la tête pour y contempler un ciel d'un bleu profond et parfois même, le soleil passait discrètement comme si ce derniers faisait signe au jeune homme. Signe d'une amitié lointaine lorsque deux vieilles connaissance se font un signe de loin pour dire qu'ils se sont vues et reconnues. Seulement, maintenant le garçon ne prêta ni attention pour le ciel, ni pour les passants. Il sorti de sa poche une petite boite à cigare reconvertie en traceur. Le garçon avait coller sur le talon de la voleuse un petit carré de fer discret et difficile à retirer à moi d'avoir sous la main le traceur qui l'accompagne.

Il chercha sa position, elle se trouvait au repère de Compact. Il songea à ce qu'elle devait bien faire la bas. C'est le repère d'une des mafias de la ville. Pris d'excitation, le jeune homme se mit à courir vers la position sans savoir ce qu'il allait y faire ni même y trouver. Il ne voulait que connaitre les raison qui ont pousser cette fille à voler et puis accessoirement, Haden Pyre avait la conviction très forte de retrouver et les menottes en Marmitan renforcé et l'inverseur de puissance, une pièce maitresse de sa dernière invention. Il n'a jamais supporter voir du visage de Gary s'écouler une larme même si lorsque cela arrivait, le jeune homme y percevait quelque chose de surnaturel au caractère d'un homme comme Gary  Finch qui fut moins dure avec son propre matériel qu'avec ce qu'il considérait comme un fils.