Harbor le monde oublié

"Tu est la clé, je suis le combustible ensemble nous pouvons aller loin."

"Retiens bien ça petit, la cité Dayron est une capital corrompue. Tu dois garder le regard bas et ne pas gagner en notoriété si tes jours te sont chers. Dayron est une cage ambulante et tous ceux qui rentrent ne ressortent pas, en claire nous vivons dans une cage d'oiseau avec des propulseurs, nous vivons contrairement à ce que tu pourrais penser dans les nuages. Le simple fait de dépendre de la gestion et des moteurs de la cité fait que nous sommes obligés de toujours maintenir les moteurs en marche sinon, nous courrons tous vers la mort, voilà pourquoi nous ne pouvons pas sortir. Si l'on tente quoique ce soit nous risquons d'y passer tous. Nous sommes trop occuper à nous maintenir en vie et ceux de manière précaire car nous pourrions très bien mourir dans un jour, un mois, un an..."

- Comment font les oiseaux pour ne pas être gêner de notre présence ? Songea le petit garçon en regardant ces doigts.

- Laisse moi continuer on en parlera plus tard tu veux bien ? C'est bon tu concentre ton attention sur moi la ?

Le bonhomme serra son âne en peluche et hocha la tête.

"La cité nous rend esclaves mais elle est aussi productrices de génies et regorgent de miracles. Des artisans sont capable de prodige et ces derniers sont appeler "Heures du futur" pour leurs nombre exacte de douze génies et de leurs avancés scientifiques qui nous dépasse tous d'une certaine manière. Leurs technologie nous dépassant d'une centaine d'année luttaient contre le système de la cité et après s'être rassembler pour trouver un moyen de dépasser le système, il créèrent des "receveurs". Ce sont des objets, et êtres artificiels ou humains ayant la possibilité de s'unir et libéré le peuple des inégalités et de la hiérarchie de Dayron. Seulement, le gouvernement eu rapidement vent de ces projets et il massacrèrent en partie ces savants, "Heures du futurs" qui avaient mis en place ce stratagème qui se révéla cruel. Cela s'est passer il y a 20 ans. Le gouvernement à décapités chaque savants et ils ont placer leurs têtes en guise d'exemple sur la place de "L'arbre à ressort". Seulement, devant l'horreur du spectacle, une nouvelle flamme d'espoir est née dans le peuple. On compta sept têtes sur la place. Dans les vingt années qui ont suivies, un autre savant fut retrouver puis assassiné par "l'Ordre de Rebourg" une organisation conçus par le gouvernement n'ayant d'autres buts que de retrouver les derniers savants pour les assassinés à leurs tours. Mais malgré cela, nous n'avons plus jamais eu aucune trace ni de ces savants, ni de ces receveurs. Ces créations qu'ont fait "Les heures du futurs" figure au nombre exacte de 24 puisque chacun en a conçu deux. Sans doute certains furent tuer d'autres revendus ou encore même réduit au silence. Nul ne le sait, le plus fascinant et que les savants qui ont survécus auraient sans doute pu continuer à fabriquer d'autres receveurs. Il est dit que ces derniers sont des pièces devant l'immensité d'une machine qui nous dépasserais tous. Mais ce sont surtout des rumeurs qui circulent, à ce jour nous ne voyons aucun lien avec chaque receveurs fruit d'un savoir qui nous dépasse tous."

- J'ai faim... Demanda le garçon confus d'avoir suivi ou non.

L'homme soupira péniblement et s'effondra lourdement sur son fauteuil à ressort grinçant entourer des papiers jaunit par le temps et des pièces mécaniques. Il saisit un verre cylindriques et rempli d'un liquide ambré similaire au whisky. Il avala une gorgé retira ces lunettes et ce mit a fondre en larme devant l'enfant au visage indifférent et naïf. L'homme voulut cacher ces larmes et il se cacha derrière ces mains blanche salies par la craie qui a blanchit le tableau durant les explications de l'histoire de la cité.

Le garçon s'approcha de lui.

- j'ai faim... Assista le garçon. L'homme passa une de ces mains derrière sont fauteuil et en sortit un bocal en verre rempli de cookies au beurre de cacahuète parsemé de petits morceaux de poires sécher. Le petit garçon se servit et portant le gâteau à ces petites dents blanches pour se faire les crocs, il demanda à l'homme chagriné.