La Couronne et le Foulard [Terraink]

Chapitre 17

Hello la jeunesse !!

J'espère que vous allez bien !! Ici ça va, c'est toujours aussi fatiguant mdr. J'ai l'impression d'écrire pendant 7 heures et en plus je fais du rab en rentrant ptdr. Je suis vraiment trop sympa avec vous XD

Pour le track du jour, je dois vous avouer que je viens juste de le découvrir pendant que j'hésitais entre deux morceaux de Tchaïkovsky. Cependant, notre bon Tchaïkovsky a beau être un intemporel, malheureusement il est un peu anachronique à notre période (même s'il n'est pas dit que j'utilise un de ces morceaux avant la fin). Mais Saint-Saëns étant pile de la bonne période et ce morceau étant juste parfait et délicat, j'ai choisi celui-là. Alors asseyez-vous et laissez vous porter.

Sur ce bonne lecture les petits chatons, <3

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Sa Majesté sentait son cœur marteler sa royale poitrine. (C'était gratuit) Il avait presque l'impression que son organe vital cherchait à s'échapper de sa cage thoracique.

Et pourtant, malgré cet alarmant dysfonctionnement cardiaque, le Roi se sentait étrangement heureux. S'il avait pu choisir, il serait resté là, dans les jardins en compagnie de son cher Terracid jusqu'à la fin des temps.

Après tout, son compagnon n'était-il pas un si beau sujet de contemplation ?

Il fallait se l'admettre, le souverain ne pouvait plus détacher ses yeux du jeune révolutionnaire. Il lui semblait que chaque seconde qui s'écoulait ne déclenchait en lui qu'un besoin de plus de contact avec son partenaire.

Mais en même temps tout était si exceptionnel à cet instant.

Jamais le Roi n'avait ressenti une telle connexion avec quelqu'un. Et non, pas même avec Ero, qui pourtant le suivait depuis son plus jeune âge. Avec Terracid, tout était différent.

Il lui semblait que le lien qu'ils partageaient était vraiment fort, et spécial. Leur relation avait quelque chose d'unique, presque magique.

Peut-être était-ce leur destin de se rencontrer ?

Mais qu'importe, cela lui était bien égal à cet instant, car pour le moment, plus rien n'était important, si ce n'était les beaux yeux bleu glacier de Terracid, rivés sur les siens.

Oh, comme ils étaient magnifiques. La couleur de ses prunelles chavirant aux gré des flammes des bougies n'apportait que plus de charme à la finesse de ses traits.

Sa Majesté aurait pu se noyer dans ce bleu profond. Oh oui, il se serait laisser happer.

(Bleu noyade ptdr je pleure mais pas de rire)

D'ailleurs, il lui semblait qu'il était en train de perdre pied, cédant aux charmes de son vis-à-vis. Voilà qu'il était ensorcelé.

(Ceux qui ont la chanson de Lorie en tête --> vous les vrais)

Le Roi aurait donné sa Couronne et toute sa fortune pour qu'on le laisse passer l'éternité juste ici, aux bras de son adoré Terracid. Il lui semblait qu'il perdait la tête, et que son corps parlait à la place de son esprit. 

Était-ce lui où est ce que leurs deux corps se rapprochaient ? 

Il lui paraissait que les deux yeux bleus étaient bien plus proches qu'auparavant. Son souffle se coupa à cette pensée, alors que son regard quitta les prunelles de son vis-à-vis pour fixer un instant les lèvres de celui-ci. 

Son estomac se retourna à cette image. Non pas qu'elles soient repoussantes, mais l'idée même d'embrasser le jeune révolutionnaire, aussi chastement que ce fut, provoqua une légère nervosité de la part du souverain.