Chapitre 4

15 1 0
                                    

Je me réveil en sursaut dans mon lit, celui-ci est trempé de sueur, j'en suis moi même recouvert. Mon réveil se met a sonner juste après mon réveil de son habituel bip bip, effaré je le regarde, il est 6hoo. Par réflexe je tâte ma tête, cherchant les cornes qui il y as peu, se dressaient sur ma tête, je ne trouvent que mes cheveux habituellement enouriffés. Etonné, je me lève précipitamment se qui me fait tourner la tête, j'attend un peu que ma vue se stabilise , et fonce dans le petit couloir, ouvre la porte a la volée, et me place devant le miroir de ma salle de bain. Mon reflet me renvoie l'homme que je suis, aux yeux exorbités par la surprise, je tâte mon corps vérifiant que je suis bien vivant , pas la moindre egratinures. Ce n'était donc qu'un cauchemars ? Ça ne s'est vraiment jamais passé ? Pourtant tout semblait si réel, je ne me sens pas fatigué, comme si j'avais passé une bonne nuit de someil. Je me resaisit, et m'habille en vitesse, passe un coup de peigne dans mes cheveux, retourne dans ma chambre où j'ouvre la fenêtre en grand, je tire sur mes draps en boule sur mon mon lit et les laisse pendre par la fenêtre pour les sechers. Je me dirige dans la cuisine aux carreaux rouges, ouvre un placard et prend quelques biscuits que je grignote. J'enfile mes chaussures et mon manteau, sort sur le pallier et ferme ma porte. Dans la rue, mes pensées reviennent a mon cauchemars, je m'en rappelle très bien, je m'était retrouvés dans une foret métamorphoser en cerf, et vite était traqué par cinq loups, qui s'apprêtaient a me tuer, et c'est a ce moment là que je me suis réveillé dans mon lit. J'arrive trop rapidement a mon gout devant le bâtiment en verre, Stan s'apprête a pénétrer dans le l'immeuble, je le rejoins en trois grandes enjambées.
"Ha Max, comment vas tu ? C'est quoi cette tête déconfite ? Ça va pas ?"
Me lance t'il d'un air inquiet, il me scrute de ses petits yeux essayant de comprendre ce qui me met dans cet état.
"Stan, il faut que que je te parles, il y as un truc de fou qui m'est arrivé cette nuit."
Lui dis-je déboussolé. Je ne sais pas ce qui m'as pris de lui en parler, ce n'était qu'un cauchemar après tout, pourtant j'en ressent le besoin même si c'est a mon patron a qui je dois me confier, c'est aussi en quelque sorte la personne que je connais depuis le plus longtemps et un ami.
De plus en plus anxieu, Stan me propose qu'on aille se poser quelques part a la pause déjeuner, si ça peut attendre, car il as une grosse réunion ce matin. Ça me va très bien, alors je le suis dans l'ascenseur, au quatrième,nous descendons tout les deux, et je me dirige vers mon bureau tandis que mon patron se dirige vers la salle de réunion, après m'avoir donner une tape amicale d'encouragement dans le dos. Une fois dans mon bureau, je ferme soigneusement ma porte ne voulant pas être dérangé et me laisse tomber sur mon fauteuil qui grince de protestations. Un paquets d'enveloppes m'attend, je commence a les ouvrir, comme d'habitude, et y trouve une petite enveloppe bleu ciel, je l'ouvre, intrigué, a l'intérieur, une rose rouge magnifique aux doux parfum et un petit mot d'amour de Celine. Je pose la magnifique fleur aux petales si fragiles sur mon bureau, et met de coté la petite carte bleu ciel, a l'ecriture violette itallique. Un petit sourir timide aux levres, je continue l'ouverture des collis sans trouver d'autres belles surprises, q'un nouveau énorme dossier a analyser. Avec un long soupir, je me plonge dedans, essayant d'oublier la nuit etrange que j'ai passée. C'est un dossier sur un projet de construction de petits cabanes en bois dans la foret en pleine nature, je ne puis m'empecher de me souvenir du cauchemar en voyant une photographie d'un magnifique sapin. Jusqu'a midi le dossier m'occupe l'esprit suffisament, il faut faire de nombreux caculs compliqués et je ne refflechit qu'a ça. Mais quand Stan déboule dans mon bureau, en racontant que sa reunion etait interminable, tout me reviens en tête. Je referme le dossier, enfile mon manteau, et emboite le pas de Stan vers l'ascenseur. Une fois dehors, nous marchons côte a côte en silence, de la buée sort de ma bouche, il fait vraiment froid, le troitoir est parfois gelé et il faut faire attention a ne pas se casser la figure sur cette patinoire dangereuse. Nous arrivons devant un petit restaurent, decoré de deux petits cochons en plastiques, a l'entrée. A l'interieur, il fait chaud, un bond feu de cheminée crepite au millieu de la pièce, sur les murs, les reflets de flammes qui dansent provoque une lueur douce et reconfortante. La pièce est quasiment vide, mon patron et moi s'installont sur une petite table ronde décorée d'une nape rouge a coeur dans un coin de la pièce, des plantes accrochées au murs enbaument la pièce de leurs parfums aux milles couleurs. Après un instant de reflexion, Stan choisit une salade compsée, tandis que moi, je commande une petit tartiflette, au jeune monsieur habillé d'un costume noir inpecable. Alors qu'ils s'eclipse, Stan me regarde dans les yeux attendant l'expliquation que je lui ais promis ce matin. Je pousse un soupir, m'en voulant un peu de lui avoir laché tout ça dès que je l'avais apperçut, et entrepend de lui raconter mon cauchemar tant redouté. Entre temps, le serveur et revenus nous apporter les plats, et je continue mon histoire tout en savourant ma tartiflette bouillante qui me fait un bien fou. A la fin du recit, Stan, a ma plus grande surprise ne prend pas tous ça a la legère et me lance d'un ton inquiet :
"Si ce cauchemar persiste, il faudrait que t'aille voir quelqu'un mec ! Ça peut te provoquer des insomnies et tout le bazzard, et tu sait bien qu'on n'as besoin de toi dans la boîte t'es l'un des meilleurs !"
-"je sais je sais t'inquiète pas va, je me suis emballé trop vite c'est tout, ce n'est qu'un cauchemar après tous." Lui repondis-je.
Après une bonne mousse au chocolat maison, Stan insistant, finit par payer la note me laissant là les bras ballant géné. Puis ensemble nous repronont la route, dans le froid glacial de l'hiver déjà bien commencé. Mon après midi se passe sans autres nouveau évenements que le travail sur mon dossier et le petit café de 16h00. A 18h00, mon travail achevé, je range mes affaires, prends l'ascenseur, et me retrouve dans l'obscurité et le froid. Avec pour tout éclairage quelques lampadaires, et les ensseignes des magasins clignotants dans le silence absolue de la nuit.

Hey !! Me revoila avec quelques semaines d'absence !! Je suis desolée mais j'ai des problèmes avec mon telephone et ça sera compliqué de vous publiés des chapitres !! Mais je fais tout mon posible croyait moi. Bon je sais que ce chapitre n'est pas super passionant il ne se passe absolument rien désolée ça sera pour le prochain !!

Le brâme du cerfWhere stories live. Discover now