Mafia, chronique de Zara.

Troublée

C'est la sonnerie de mon bigo qui me réveille.

J'écoute
Lui: Les voitures viennes d'arriver aux port on fait comment
On laisse la livraison pour la semaine prochaine j'ai pas finis avec les compte
Lui: et pour l'arrivage de ce soir ?
Vous récupérez et rouler jusqu'à Marseille Mam's vas se charger du reste
Lui: le berger n'a pas emmené les bœuf(les vendeurs d'herbe n'ont pas ramené la thune au complet on parle en language coder pour pas ce faire prendre par les keuf on sais jamais)
Retrouve le moi et rdv à Paname vendredi

C'était un de mes hommes. Les armes doivent venir ce soir. Je suis sensé les récupérer et faire le compte mais je sais pas si je serais libre ce soir donc je préfère qu'ont les emmène aux dépôt de Marseille mon bras gauche s'en chargera.
En regardant l'heure sur mon tel je vois 19h20 putain j'ai dormi trop longtemps. Je me lève vite fait et m'habille d'un jogging gris, t-shirt blanc, sweet à capuche noir et basket noir.
Les clés de ma Ferrari et mon bigo en main je descend au garage et prend la voiture direction Centre hospitalier ales de Cévennes.
Je roule à 150km|h.

J'ai qu'une hâte voir Zara.
Sa m'énerve d'être autant inquiet pour elle. Je sais pas ce qui m'arrive mais je sens que je vais peter un câble si son état me plaît pas.
Faut juste pas qu'un toubib à la con viennes me les casser.
Je suis dans un état pas possible. Yeux rouge cheveux mal prise dans un chignon, et un regard de zombi. C'est sur ils vont pas me laisser la voir.
Je vais peter un câble et niquer tout le personnel.
Je prend une longue inspiration pour me calmer.

Ouais je t'écoute
Hassan : t'es encore loin
T'es resté ?
Lui:  bien sûr que j'suis resté t'es encore loin ?
J'suis là dans 5min
Hassan : asy je t'attends

Je raccroche. Hassan c'est vraiment mon frère de cœur. Il passe la moitié de la journée à surveiller ma meuf. Il assure.

Arrivé à l'hosto je me gare et entre dans l'enceinte de l'hôpital.
Arrivé en salle d'attente j'y trouve Hassan assit on dirait qu'il attend quelqu'un

Moi: alors ?

Hassan : Sarah est allé voir.

Moi: elle est là depuis quand ?

Hassan : je l'es trouver ici. Elle est infirmière

Moi: la pauvre, elle doit être mal

Hassan : elle ne cesse de pleurer. J'ai de la peine pour elle.

....: elle est au 4ème, chambre 316 dit elle en arrivant

Moi: salut comment tu vas

Elle me répond par un câlin. Sa main autour de ma taille... et putain j'ai une arme sa race. Hassan retire doucement l'arme pendant que je lui rend son étreinte. Il faut être gentille aussi c'est important.

Sarah : pourquoi sa lui arrive à elle. Dit elle en pleurant

A cause de moi. Mais çà je te le dirai jamais. Je la réconforte quelques minutes puis elle nous conduit à sa chambre.
Lorsque j'entre dans la chambre et que je la vois sur ce lit plein de truc branché sur elle j'ai envie de tuer quelqu'un.
Comment est-ce que cette fille joyeuse et souriante tout le temps se retrouve dans cet état maintenu vivante par des machines à cause d'un batard que j'ai hésité à tuer.