Mafia, chronique de Zara.

Un weekend

ZARA...

Je me réveille en sursaut après avoir rêvé qu'on m'étranglait a mort. Et tout le sang de la veille m'a traumatisé. Tout ces morts.
Je fixe le plafond un instant avant de remarquer que j'suis seule dans le lit.
Il est encore passé où Khaled.
Je sort du lit en quatrième vitesse et fouille la chambre. Il n'y est pas.
Je part à la fenêtre et tire le rideau. Les rayons du soleil me fouette le visage et je ferme les yeux par réflexe.

Petit à petit je me fais à la lumière et regarde l'extérieur. J'aperçois un vaste terrain qui s'étale sur des kilomètres dans le quel il y'a deux petites cabane. J'y aperçois des hommes avec des armes on dirait un camps militaires. Mais où suis je tombé ?

Impossible de sortir parceque je n'est qu'une chemise de Khaled sur moi je poirotte un petit instant dans la chambre avant qu'on ne tape à la porte. Je cours me cacher sous la couette, et autorise la personne à entrer.
C'est Doumam's, il a un sac de shopping en mains.

— je t'apporte de quoi t'habiller déclare t'il en déposant le sac sur mon lit

— et Khaled?

— il est en bat. Habille toi j'suis juste derrière la porte si t'as besoin annonce t'il en sortant

Je sort du lit et vide le sac de son contenu avant d'aller prendre une douche, rattraper ma prière et sortir. La soirée m'avait tellement effrayé que j'ai dormis sans bouger, je me suis pas non plus réveillé à 5h comme à mon habitude.
Habillé d'une robe bohème noire, manche long et qui m'arrive jusqu'à la cheville, des sandales au pied, plus mon voile j'ouvre la porte de ma chambre retissante.

Comme il me l'avait dit Doumam's se tiens en in pas de la porte. Debout droit tel un soldat.

— je savais pas que j'avais droit à un garde du corps dis je amuser

— je coûte trop chère pour toi réplique t'il en me souriant aller suit moi me demande t'il en se dirigeant vers les escaliers

Je le suis sans rien rajouter. Lorsqu'on arrive au red-chaussé je remarque que les voitures qu'ils y avais la veille n'y sont plus. Il n'y a qu'un grand espace vide. Je parcours la pièce des yeux tout en continuant à suivre mon guide.

— sinon ça vas pas trop tourmenté de la soirée me questionne Doumam's

— j'sais pas trop, et toi

— j'ai l'habitude

— tu veux dire que où il passe il fait un massacre comme hier demandais je

— non, c'est la première fois que sa arrive. En général y'a pas de caméra dans les parage encore moins une Zara

— est-ce de ma faute?

— bien sûr que non. Essaie t'il de me rassurer

On venait d'arriver dans la cabane que je voyais de la chambre. De près elle n'es pas aussi petite que ça. Il y'a beaucoup d'arme disposer dans des grands caisses. J'suis stupéfait. La seule fois où j'ai vue ce genre d'armement c'est dans les films policière. Il y'a aussi quelques hommes qui find je ne sais quoi avec les armes. J'ai perdu de vue Doumam's à force de regarder tout autour de moi.
Par instinct je presse le pas et avance vers ce qui me semble être une pièce calme.
Plus je m'approchais de la pièce plus j'avais l'impression d'entendre Khaled.
Une fois devant la pièce dépourvue de porte je tombe sur mon mari en train de torturer un homme avec un couteau