Mafia, chronique de Zara.

Rabibocher

J'ai quitté l'hôtel, le lendemain à la première heure. J'ai même pas dit au revoir à quelqu'un.
Pourquoi j'ai fais ça.
Vous allez me dire, il est où le problème c'est ton mari, mari que je déteste. Je veux plus rien éprouver pour lui. Il m'a tout pris, il me reste que ma haine pour lui fuir.

Si je commence ne serait-ce qu'à avoir un peu de compassion pour lui, je retomberai dans ses bras.

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Je dormais comme toute personne normale a 3h, quand on sonne, disons quand on manque d'arracher ma porte.

Je descends chercher un couteau dans la cuisine avant d'ouvrir la porte. C'est un peu soulagé que je vois Khaled. Je le regarde incrédule, il entre sans invitation. Je regarde dehors pour voir s'il se passe quelque choses.

— qu'est-ce que tu fais ici, t'as un problème

— j'suis pas du genre à fuir tu le sais, j'suis là pour parler.

— a 3h du mat, je travaille  demain alors vas t'en dis je en lui indiquant la porte

— tu sais qu'on doit parler à propos de l'autre soir

— Khaled, j'suis fatigué, je doit être au taquet demain pour mon taf si j'veux pas le perdre alors vas t'en

— le taff, le taff oublie un peu le travail

— c'est ce qui me nourri, étant donner que j'veux rien de toi, je vais me couché et t'as intérêt à être parti à mon réveil

— tu peut te permettre d'arriver en retard ou de pas y aller c'est pas...

— figure toi que non je peux pas, fais pas chier Khaled et lâche moi dis je en lui retirant ma main sur les nerfs

— bien sûr que si, qui oserai te renvoyer tu taffe pour moi

Je le regarde confus

— c'est pas aussi facile de trouvé du taff même ici. J'suis le proprio de la boîte où tu taff

— tu sais que ta folie n'a pas de limite t'as été jusqu'à acheter mon lieu de travail

— non elle à toujours été à moi, mais c'est pas pour ça que j'suis là. Pourquoi t'as disparu l'autre jour.

— je t'es dis que c'était une erreur tu t'attendais à quoi. Oublie ça se reproduira plus

— tu côtoie quelqu'un d'autre Zara ? Me demande t'il tout à coup sérieux

— a ton avis répliquais je aigri

— hmmm ! J'ai confiance en ta foie mais pas au prêcheur qu'est l'humain, t'as passé 8mois sans rapport intime avec moi, la question ce pose non.

— oh parceque tu m'a baiser avec tant de facilité tu me prend pour une femme facile hein. T'as raison je côtoie quelqu'un d'autre, maintenant vas t'en

— si tel est le cas alors je te promets de le retrouver et de te l'envoyer membre par membre, tu sais de quoi j'suis capable dit il en me fixant droit dans les yeux

— tu voulais parlé c'est fais maintenant je veux que tu t'en aille

— et moi j'veux te faire l'amour dit il en tenant mes mains en otage derrière moi et de m'embrasser

Je lui avais tourner le dos, ce qui fais qu'il est derrière moi. Il maintient mes mains d'une main et l'autre possède mon cou. Je lui mort la lèvre déterminée à pas le laisser faire cette fois-ci