Mafia, chronique de Zara.

Revirement

Je m'assoie en tailleur sur le lit et le fixe. Je sais pas quoi dire.

— tu pense pas avoir abusé avec les chocolats dis je en regardant la pièce

— tout le monde aime le chocolat non ?

— ta poudre blanche est entrain de nous éloigner. Je sais que tu t'es en quelque sorte retrouver emporter par les choses mais... je veux pas que ça prenne la petite place que j'ai pu me faire dans ton cœur

Il répond pas et me fixe. Déjà que c'est pas quelqu'un de bavard ce soir c'est pire.

— tu faisais quoi ? Demandais je en allant m'assoir près de lui

Il sourit simplement en me caressant la cuisse

— azy, j'suis pas ta pote ? C'est mon anniv steplais

— je faisais la course de voiture avec quelques ennemi c'est tout

— Khaled?

— pour une fois que j'avais rien fais. J'étais occupé à chercher les tope de mon équipe et le con ils viennent me chercher des noise. Je l'es buter, qu'il t'es menacé la dernière fois m'étais resté à travers de la gorge donc.....

— sérieux, tu l'as enfin eu ta vendetta ? Et comment ça ce fais que t'es des tope dans ton truc ?

— je me le demande. On a fais super attention, faut croire que ça a pas suffit

— sinon tu m'apprend à utiliser une arme demandais je en prenant sa main

J'sais pas c'est quoi le délire mais j'adore ces mains. Ils sont super doux.

— tu voudrai pas aussi devenir mafieux, je t'apprendrais a tuer et à faire disparaître un corps dit il sarcastiquement

— c'est pas une mauvaise idée, j'suis bonne élève dis je en jouant avec ses bague

Il me regarde en mode elle devient dingue ou quoi ?

— je crois que t'as abusé du chocolat, dit il en me retirant sa main

— j'suis la femme du boss dis je en prenant une tablette de chocolat que je brandis comme si c'était une armes

— tu carbure à quoi frère dit il amuser

— dis ? Je te rend heureux ?

— pourquoi cette question

— j'sais pas, on a beau ne pas s'entendre là plus part du temps, mais chaque petit instant a tes côté me rend heureuse dis je en m'asseyant sur lui

— toi et moi on aura les cheveux blancs ensemble dit il en me regardant droit dans les yeux

— j'sais que tu veux me protéger, mais je veux que tu me dises tout, surtout sur tes affaires, ta drogue nous éloigne et ça moi j'veux pas donc pour une bonne relation tu te dois de m'en parler, qui plus est si jamais sa tourne au vinaigre, je suis ta femme. Je pourrais pas témoigner contre toi, et même si on se sépare chose qui n'arriverait pratiquement jamais parce que y'a un truc inexplicable qui nous lie à vie j'suis sur que j'aurai pas à témoigné contre toi...... dis je la tête reposer sur son épaule

— t'as finit de délirer ?

— j'suis sérieuse, plus de secret c'est finit. Promet le moi lui demandais je en le regardant gentiment