Mafia, chronique de Zara.

Privé de sortie

Je me suis terré dans ma chambre pour éviter vous savez qui.
Pour lui les choses sont rentré en ordre vue mon comportement d'hier soir. Sauf que non il n'y a pas eu grand changement. Je ne peux juste pas le laisser tomber quand il est malade.
Pour le moment ça vas. Je vais garder un œil sur lui pour qu'il se rétablisse vite. Au delà de ça je vais essayer de reprendre une vie normale.

J'ai dîné avec Hamane, ai regardé un dessin animé avec lui puis l'est mis au lit.
Arwa dort pour le moment. J'en profite pour un peut lire le coran.
Je passe a peu près 2h sur mon livre. Les sainte parole d'Allah apaise tellement le cœur.

Je tire mon lait et me met en pyjama.
Je fais un petit contrôle dans la cuisine pour voir si tout est bien éteint parce qu'un soir on a failli cramé ici. Les filles avaient oublié un gaz allumé.

Fin bref en remontant je tombe sur Khaled dans les escaliers. Il est habillé tout en noir.
Les cheveux lisse, tombants sur ses épaules. Il porte un pantalon en tailleur noir, chemise noir, des gants noir et un manteau en cuir noir.
Il vas sortir? Bien sûr qu'il vas sortir et il vas jouer au mafieux à voir son habillement.
Pourtant le doc lui a interdit de jouer au mafieux pour la semaine.

Il est là à me regarder comme si j'étais un fantôme. Je monte les 3marge qui nous sépare et lui prend la main pour le faire monter avec moi.
Comme à son habitude il me suit.
Une fois sorti des escaliers je le questionne du regard.

— j'ai deux/trois truc à réglé je reviens d'ici 1h répond t'il

— Il a dis quoi le doc?.... Privé de sortie pour la semaine tu sort pas pour aller faire le mafieux dis je les bras croiser

— c'est juste un petit truc je règle vite fais wallah

— Khaled! Tu met pas un orteil dehors

— qui vas m'en empêcher? Me demande t'il sur de lui

— moi. Je t'interdit de sortir tes malade

— t'inquiète je vais bien. Promis j'utilise pas d'armes réplique t'il en se redirigeant vers les escaliers

— j'ai dis ... tu ne sort pas. Redis je en me plantant devant lui

Il me colle légèrement au mur derrière moi et passe la main sur ma taille. Putain j'en frémis. Je le fixe déterminé à lui tenir tête. Mais putain qu'il est attirant et sexy ce soir. Le noir lui vas si bien. Les gants le rendent un peu plus dangereux qu'il n'y parait.
J'oubliais c'est un mafieux.

— j'aime pas recevoir d'autre 'amirati (ma princesse) c'est pour ça que j'ai bossé pour devenir patron. Tu pense que m'interdire de sortir m'empêcherais de sortir dit il en me regardant dans les yeux avec une lueur dangereuse

— non...

Il me colle à lui grâce à sa main qui entourait ma taille, puis commence à me caresser les fesses avant de m'embrasser langoureusement.
A quoi bon résister, je sais au plus profond de moi que j'aime ça. Je pose la main sur sa mâchoire et continue à l'embrasser amoureusement.

— je sais que t'es le patron et il me semble que vous avez des problèmes mais... t'es aussi un père de famille et on veut pas te perdre... t'es malade alors s'il te plaît repose toi dis je doucement les lèvres contre les siennes après avoir interrompu notre baiser

— je te promets que je vais bien, il me faut réglé le problème...

— 4 jour. Juste 4.