C'était Juste Un Dessin Et Il a Changé Ma Vie

XVII

PDV Demi

En allant à la villa, Do s'est arrêté à une superette pour acheter des tonnes de ballons de différentes forme.

- Il vont te servir à quoi tous ses ballons ?
- Tu verra, on va s'amuser.
- Bouh po juste.

Je fais la moue donc elle me fait un bisous sur la joue et me prend la main et m'entraine dans la maison, immense je dois dire. Elle est entourée de haie, les murs sont blanc avec beaucoup de baie vitré et et le truc cool mais chelou : les toits sont comme les maisons grècque. Ronds mais noir à la place de bleu. On entre dans la maison qui donne sur le salon immense, il fait toute la suprficie de la villa avec une cuisine ouvert. Dans un coin, un escalier en colimasson en fer noir. Y a des cartons partout et le sol et fenêtre est totalement plastifié, surment pour la peinture.

- Kiwi, on est rentré ! J'ai pris les ballon, t'as tous protégé ?
- On est là haut, on a presque fini de protéger. Répond Mathieu
- Bon bah on monte on commence par là haut du coup. Tes habits craignent la peinture ou pas ?
- Nan mais si je peux, je veux bien me changer. Répondis-je
- Moi aussi, vient on va trouver ma valise, je vais te passer mes habits pour quand je peint.
- Elles sont toutes noires, s'est pas gagné.
- Elle est rouge.
- Ah bah la s'est gagné, je l'ai. Dis-je
- Prend se que tu veux dedant, je vais monter la peinture et les ballons le temps que tu te changes.
- D'accord.

J'ouvre la valise et y prend un tee-shirt et un short au pif et me change ici vu que tous le monde est en haut. Je suis donc dos aux escalier.

- Ho, Godness, je suis désolé, je pensais que tu avais fini... Je repart.

Je me retourne surprise, je suis en soutien gorge, je venais tous juste de mettre le short.

- Non c'est bon, tu peux rester. Changes toi j'ai presque fini.
- Non... Je... D'accord. Dit-elle géné

Elle se met dos à moi et enlève son pantalon et met un short puis commence à enlever son haut mais s'arrête.

- Retourne toi s'il te plait, je ne veux pas que tu vois ça. Dit-elle légèrement en prise de panique
- Je ne vais pas te jugé tu sais.
- Je sais mais elles sont pas se moi. Dit-elle les larmes aux yeux
- Hé n'ai pas peur, je vais pas te poser de question, je sais que t'es pas prête pour sa et puis j'ai déjà entre aperçu se matin même si tu courais dans tous les sens. Dis-je avec un sourir rassurant
- Je...

Elle ferme les yeux fesant tomber quelques larmes. Je m'approche et les essuies avec mes pouces.

- Allez tourne toi, laisse moi voir. Dis-je

Elle se met dos à moi, je prend le bat de son tee-shirt et le soulève doucement jusqu'à l'enlever completement. Outch, il est dans un piteux état, des griffures, des morsures, des marques ressemblant à des coup de fouet. Se matin, je n'avais vu que de simple trace rouge mais en face les entailles sont profonde. Je passe mes doigts sur celles qui forment une grande croix, elle se cambre et frissonne.

- Elles te font mal ?
- Oui, se sont les plus récentes et les plus profonde. Elles sont cicatrisé mais même après un ans, les toucher et les chocs me font toujours mal parfois.

Je la retourne face à moi, ses bras cache son soutien-gorge et sa tête est baissé. Je la prend sans hésitation dans les bras et lui dis à l'oreille :

- Maintenant je suis là, je vais t'aider et on les transformera en force d'accord.
- Oui

Je me détache, lui fais un bisou sur le front et lui met son autre tee-shirt puis je part vers les escaliers.

- Mon style te va bien. Dit-elle alors que j'étais devant elle.