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> Si vous venez bien de l.m, vous pouvez continuer, sinon, veuillez retrouver votre chemin. <

« Non mais c'est pas bien de manger des êtres conscients ! Pauvres bêtes qui sont charcutées impunément.

Elle sortit alors de son corsage un morceau de papier, sur lequel avait été retranscrit les écrits de Plutarque à ce sujet :

« Tu frémis ! tu n'oses sentir palpiter sous ta dent une chair vivante ! Homme pitoyable ! Tu commences par tuer l'animal, et puis tu le manges, comme pour le faire mourir deux fois. Ce n'est pas assez : la chair morte te répugne encore, tes entrailles ne peuvent la supporter ; il la faut transformer par le feu, la bouillir, la rôtir, l'assaisonner de drogues qui la déguisent : il te faut des charcutiers, des cuisiniers, des rôtisseurs, des gens pour t'ôter l'horreur du meurtre et t'habiller des corps morts, afin que le sens du goût, trompé par ces déguisements, ne rejette point ce qui lui est étrange, et savoure avec plaisir des cadavres dont l'œil même eût eu peine à souffrir l'aspect. »

—A tout les coups, la mort de mon mari est la raison du karma. »

[En commentaire, lien pour le texte intégral. Merci de ne pas poster de commentaire, sous ce commentaire d'interligne, merci.]

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Meurtre carnassier - Histoire interactiveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant