Cʜᴀᴘɪᴛʀᴇ 68

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NDA : J'aurai tellement voulu vous poster plus d'un chapitre, mais le sprint de la semaine-ci ne m'a pas donné la possibilité d'écrire un autre chapitre, nous nous contenterons donc de celui-ci.

Prière de lire la note du bas siouplait 🥲 et, en plus du questionnaire des personnages j'aimerai également vois posez des questions... Bref on verra.

Bonne lecture

𝑅𝐻𝑚𝑖

Quelques heures plus tôt...

SASHA

- Si quelqu'un ouvre sa bouche sur moi je ne marcherai pas mes mots, prevenais-je en quittant la maison.

- Tu es trop sage pour parler comme une insensée la mère, j'ai confiance.

Je ne dis rien et monte dans le taxi que j'ai arrêté. Au bout d'une vingtaine de minutes j'arrive enfin à l'appartement de Jonas. Mon cœur se resserre à la pensée qu'Aya passe la claire partie de son temps libre ici.

« Dans quelques mois ça sera même chez elle, me dit ma conscience. »

Je ne laisse pas l'opportunité à la tristesse et au regret de s'exprimer et me dépêche de sonner à la porte. On entend déjà la musique dans tout le pallier. Il a les chics voisins hein, c'était chez nous ils avaient appelé la police, les malo là.

J'efface toute trace de sentiments négatifs sur mon visage et laisse place à un magnifique sourire. Je ne suis déjà pas ravie d'être là, faudrait pas que je plombe l'ambiance de la fête en ayant un visage plus dure que la norme.

Le sourire que j'avais fraîchement fait disparaît lorsque la porte s'ouvre sur Aya. Non sérieusement ? Ç'aurait pu être quelqu'un d'autre qui m'ouvre.

- Ouh tu es finalement venue, je connais un qui sera ravi, m'invitant à rentrer.

Elle referme la porte. Je me crispe lorsqu'elle me prend par le bras et me tire pour rejoindre les autres.

- Regardez qui nous fait l'honneur de sa présence ! Lance-t-elle avec enthousiasme.

Ils crient tous mon nom avec joie en venant me faire un câlin.
Eh bien, merci de l'accueil !
Je me dépêche d'approcher Jonas. En même temps est mieux. Personne ne sait à quel moment je peux quitter la fête-ci.

- Joyeux anniversaire Jonas, dis-je simplement.

Je voulais respecter les mesures barrières mais il me prend subitement dans ses bras. Je reste figée, ne sachant que faire d'autres. Je suis tactile. Mais, je ne me sens pas à l'aise. Faut pas ils vont commencer à dire que je veux faire truc que truc, la bouche des gens de l'église là hum hum.

- Je suis tellement content que tu sois venue, mettant fin à notre étreinte, merci beaucoup.

- Euhm... Désolée, je n'ai pas eu le temps de prendre quelque chose.

- Ne t'inquiètes pas, ta présence est le plus beau cadeau que tu puisses me faire, m'offrant un sourire sincère.

Je me traite intérieurement de tous les noms lorsque mon cœur tambourine fortement dans ma poitrine à sa phrase. Je réponds à son sourire par un simple hochement de tête avant de rejoindre Danika qui discutait avec Caleb et d'autres personnes de l'église.

La fille du pasteurWhere stories live. Discover now