Comprenez-moi

Chapitre 16 : Time-Bomb.

Hello ! Je tenais à vous faire un - long -message au début, peut-être que ça capte plus l'attention qu'à la fin, je ne sais pas.
Je sais très bien que mes retards sont plus qu'énormes. C'est même la première fois que je dépasse de très très loin le délai que je m'étais donné.
En réalité, Comprenez-moi est une histoire compliqué, inspirée d'une histoire vraie. De pleins de gens, d'une seule personne réunit dans un seul personne. Jeanne. Jeanne est unique et tout le monde à la fois. Je ne sais pas si vous pouvez comprendre de quoi je vous parle, ni même si vous lisez ce message.
Mais j'ai besoin de temps pour écrire l'histoire de Jeanne. Je sais que j'en abuse, que c'est même inexcusable pour moi.
En clair, l'histoire de Jeanne est inspirée de faits réels et j'aime écrire au fur et à mesure. Je prends trop de temps. Je le répète encore et encore. Outre cette raison-ci, j'ai beaucoup de problèmes personnels, sans compter l'école et mon bénévolat, mes petits boulots par-ci par-là.
Je me sentais coupable envers vous, tellement. Je n'espère pas que vous comprendrez, juste que vous soyez un minimum compréhensif.
Merci à vous, d'être toujours présent malgré tout. Je vous le dirai jamais assez mais je vous aime. Vous faites vivre Comprenez-moi. C-M n'est pas juste toutes ces personnes réelles, ce n'est pas juste moi, c'est vous également. Mes lecteurs, merci. Merci du fond du coeur.

S-J.

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Chapitre 16 : Time-Bomb

Un grognement se fit entendre dans la pièce. Une mine de crayon avait dérapée au plus grand énervement de sa propriétaire.

Jeanne cala son dos contre le dossier de sa chaise, observant d'un œil sceptique le « dessin » qu'elle venait juste de réaliser. Son crayon frappa plusieurs fois le papier avant de s'écraser contre le bureau d'une main forte.

- Vraiment trop nulle.

Elle soupira en se prenant la tête. Ses gestes étaient de moins en moins précis.

- Vous sentez la mort ? Quel parfum déprimant. Vous me lâchez aussi, merci. J'ai besoin de vous, mes muscles, mes pensées, mon corps pour continuer à vivre un peu. Je divague complètement, je deviens parano et je parle toute seule. C'est le summum !

La jeune femme souffla un bon coup tout en se vidant l'esprit. Même ses doigts refusaient parfois de jouer correctement les accords de sa guitare ou les notes douces de son piano. En ce moment, sa capacité à se concentrer était très limité - pour ne pas dire inexistante.

- Jeanne ?

- Hum ? répondit-elle en reprenant son dessin avec un Bic noir sans accorder un regard à Gaëtan qui venait d'entrer dans sa chambre.

- Une rousse voudrait te parler.

- Blond vénitien., corrigea une voix qui, elle devait se l'avouer, lui avait terriblement manqué malgré tout.

- Carly ?

Gaëtan s'éclipsa de la pièce, en leur laissant un peu plus d'intimité dans leur retrouvailles. Peut-être cette rousse allait-elle lui remettre les idées en place ?

Cette dernière sourit en entrant dans la pièce, dégageant immédiatement une aura de joie dans la pièce. Jeanne ne pût s'empêcher de sourire à la vue de son amie, même si elles s'étaient quittés en mauvais terme.

Elle se leva trop vivement de sa chaise et du se retenir au bureau pour que les points noirs disparaissent de son champ de vision.

- Oulà, tu as maigris toi ! C'était quand ton dernier vrai repas ?, demanda Carly en fronçant délicatement ses sourcils.