Sept.

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Salam.

Un matin comme ça alors que j'enfilais ma robe préférée Farid m'appelle.

- yees le rebeu.

Farid - eh meuf vient pas tafer.

- pourquoi ? c'est toi qui payes mon essence ?

Faris - l'agence a fermé pour un long petit mois ça parle de cambriolage.

- quoi ?!

Farid - je te promets j'ai entendu dire que les coffres ont été vidé mais genre bien vides pas un billet ni un centime de laissé.

- mais comment ? et le système de sécurité ?!

Farid - piraté et mort, le code d'accès sert plus à rien encore moins celui de sécurité il y a vla les flics devant ils ont tout scellé.

- waaaah eh mais c'est la merde.

Farid - le patron a dit qu'on sera soit réfugié dans une autre agence soit on attendra.

- eh mais c'est mort tu connais mon père il va me dire de changer de voie.

Farid - tu penses ?

- mais carrément gros j'ai trop le mort il va me parler de risque et de braquage à main armée comme chaque matin je l'entends déjà me dire que c'est un signe de Dieu.

Farid - *rires* soit t'attends une petite semaine et le responsable t'appelleras pour un poste soit bah envisage la reprise des études.

- et pendant une semaine je fais quoi moi ? je sors du matin jusqu'au soir ?

Farid - tu vas voir Fatim.

- elle est avec ma mère ! elle va grave le dire à mon père.

Farid - sah tu me fumes on dirait une ado virée de cours au calme tu trouveras une solution, je te laisse je dois appeler Ashley on se tient au jus.

- azy salam mon petit.

J'ai vite raccroché avant de me faire insulter. Je suis foutue Yakoub Kontè va grave me faire la morale et sa femme va même pas me défendre. Je me démaquille rapidement et me change, je descends en pyjama.

Baba - wow belle gosse ma fille.

- laisse moi.

Baba - tu travailles pas ?

- non pas aujourd'hui.

Baba - pourquoi ?

- l'agence ferme.

Je mens pas la.

Ma mère fait une tête chelou et mon père fait le passif, il se doute de quelque chose.

Mah - tiens ton assiette.

- merci la meilleure des femmes.

Baba - complimente pas ma femme toi déjà.

- vu que tu le fais pas.

Baba - tu mens ! je le fais toujours.

- c'est vrai maman ?

Paj - oui quand il est de bonne humeur.

Baba - et vue que je suis toujours de bonne humeur.

Il sourit et porte sa tasse gracieusement.

- oui oui.

Elle lui fait un bisou sur la tempe et s'asseoit. Ils sont chous !

Mah - ne rêves pas tu ne trouveras pas un mari aussi bien que le mien.

La rose est noire - NûsseybaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant