La rose est noire - Nûsseyba

Cinquante-et-un.

Salam.

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Chacun de vos commentaires me fument j'arrête pas de sourire et/ou de rigoler - sachez que je suis trop bon public j'ai le rire facile - bref quand je vous lis : 🤰🏽🤰🏽🤰🏽😂

Bonne lecture. 🦋

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Il avait passé deux petits jours ici. On avait bien rigolé ensemble en tout cas. J'ai passé deux jours merveilleux pourtant on a fait les casaniers de ooouuf.

Évidemment on n'avait pas dormi dans le même lit, déjà qu'on devrait même pas rester seul ici sous le même toit alors dormir avec lui nooon.
Le canapé a joué son rôle de clic-clac.

Il est donc reparti sur paname. Je me sentais un peu seul mais ça va j'avais beaucoup de boulot à faire ici et il m'avait full aidé. Entre les cartons et le démontage de meubles laisse tomber.

La deuxième semaine Tahar est venu ici pour m'aider avec Mehdy, ils ont passé leur temps à m'embêter au sujet de Taysir. Mehdy se moquait de moi en me rappelant les insultes que je proférais à son égard.

- Mehdy lâche moi la grappe.

Mehdy - "ouais ce prisonnier là un vieux mec vraiment mskn la femme qui voudra de lui gngngn"

Tahar rigolait trop fort à mon goût moi je ravalais mon seum, c'était amer.

Bref vendredi il n'y avait plus rien dans l'appartement j'avais mes cartons de chargés donc il ne restait plus qu'à partir.

Asna était venu jusque chez moi pour me dire au revoir Elisa boudait encore mais a fini par me faire un gros gros gros câlin. Elles vont trop me manquer.

Elisa - tu nous inviteras à ton mariage ?

Asna - oui je veux assister à ça ! Ne nous oublie pas.

- jamais de la vie je vous promets.

On s'est fait un dernier gros câlin. Krimo me regardait depuis le banc à l'entrée du hall. Il me fout la haine ce mec il a rien foutu, ça fait déjà deux mois que je lui adresse plus la parole. Je suis quand même partie le voir.

- t'es vraiment pas un numéro dix.

Krimo - je sais je suis désolée de te décevoir.

- tu vas quand même me manquer grosse tête.

Krimo - tu passeras me voir ?

- seulement quand t'auras décidé de changer.

Krimo - mais vas-y t'es dure.

- ahaha on reste en contact.

Krimo - toujours t'inquiète.

- vas-y bisou.

Je lui ai fait un petit câlin il m'a dit de prendre soin de moi, je m'inquiète un peu pour lui mais je garde quand même un petit sourire.

Voilà on est parti pour rentrer chez moi, j'ai versé trois petites larmes. Je voulais faire plus mais les gars commençaient à se moquer de moi alors je me suis arrêtée.

[...]

Cinq heures de route plus tard on arrive enfin.

Me voilà de retour dans ma ville natale. C'est là que les choses débutent vraiment.

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Le calme, enfin. C'est cette vie la que je mérite. Et puis je me trouve trop belle en ce moment waw purée.