Le début d'une nouvelle vie

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Le cours fut si long.. et ennuyeux... j'avais tellement hâte d'en finir et de partir avec elle chez moi. A la fin du cours on range nos affaires et on part tous les deux dans la même direction sans se parler pour être le plus discrets possible. On arrive à hauteur de l'arrêt de bus et elle me glisse à l'oreille.

"J'ai super envie de vous, prenez moi dès qu'on franchit la porte de chez vous, s'il vous plaît
maître."

Le cours vient de se terminer y'a exactement 5 minutes et je bande déjà dur, j'ai envie de l'éclater contre la vitre de l'arrêt de bus, de lui enfoncer ma queue en elle en lui tirant les cheveux en arrière et en lui mettant des doigts dans la bouche.
On monte dans le bus, le trajet est assez court, 10 minutes jusqu'à mon appartement. 5 arrêts plus tard on descend du bus, on marche l'un à côté de l'autre, j'ai envie d'un peu de tendresse, de connexion, je m'approche, mets mon bras  autour de son épaule et on marche ensemble. La connexion et la complicité sont deux choses importantes dans la relation d'un maître avec sa soumise. C'est ce lien qui crée la relation unique.
On franchit la porte de mon immeuble, je la laisse passer devant, je lui claque légèrement les fesses. Elle lâche un « coquin va ».
Chaque marche montée, c'est une tension qui s'accroît, je ressens cette tension en moi, l'envie d'arriver chez moi, d'avoir ma queue qui peut s'insérer en elle, d'avoir ma bouche sur son clito, sa bouche sur ma queue, qu'on soit dans une scène totalement folle, intense, qu'on transpire, qu'on se désire. La tension monte.
J'insère mes clés dans la porte de mon appartement, je tourne, elle se colle à moi, m'attrape le bras pour mettre sa main à l'intérieur. C'est perturbant, je meurs d'envie de la traîner au sol comme une chienne, tout en ayant envie de la prendre dans mes bras pour l'embrasser.
On entre dans l'appartement, on retire nos affaires et sacs sur le canapé. Je lui propose quelque chose à boire.
" Monsieur, seul votre jus me suffira."

A la hauteur de mes espérances, sans timidité, sans complexe, elle ose, comme par message. En retirant sa veste, elle laisse apparaître très légèrement sa dentelle à travers son haut. Elle le fait exprès. Elle me regarde avec un regard... comment dire.. digne d'une femme totalement accro au sexe.

Je lui dis :

"Buvons déjà au moins de l'eau, c'est important pour toi de boire de l'eau..."

"Pourquoi maître?"

" L'eau est bénéfique pour un rapport.. humide.."

"Ah oui?.. vous m'apprenez quelque chose.."

"L'eau te permettra plus facilement de te dépasser, de devenir, peut être, une femme qui gicle partout.."

"Mais sérieux ?? Alors là je suis sous le choc. Vous êtes vraiment trop doué.. vous avez des connaissances incroyables sur ce domaine. Je suis fascinée. J'ai envie d'apprendre grâce à vous, d'être celle que vous éduquez, mais je veux être la seule.»

On se dirige vers la cuisine pour boire notre verre d'eau, dois-je préciser que ma queue n'est pas redescendue depuis l'arrêt de bus? Je suis dans une tension maximale...

"Sache que si je soumets, si j'éduque une fille, c'est elle et elle seule. Il n'y a que toi, je ne désire que toi actuellement."

"J'ai l'impression que c'est le début d'une nouvelle vie.. une vie que je fantasmais depuis très jeune et qui devient.. réalité?"

"Je suis heureux d'être la personne qui te fait changer de vie et qui réalise ton fantasme. Mais tu sais que c'est la réalité?"

"Bien sûr je le sais.. c'est excitant, flippant mais incroyable, merci Maître."

"Remercie toujours ton maître de ce qu'il t'apporte. Tu peux aller dans la chambre, mets toi en lingerie en dentelle, sur le lit et attends moi."

"Oui maître, j'y vais."

Un maître Where stories live. Discover now