Un océan de plumes torrides

Jour 21 - Jouer avec les tétons - Nami x Robin

Les deux femmes étaient de retour sur le Thousand Sunny, après plus de deux ans de séparation, après cette aventure sur l'Île des Hommes-Poissons, à rencontrer des gens plus extraordinaires les uns que les autres !

La jeune rousse avait acheté de la lingerie pour l'occasion, chez le styliste de la pègre, pourtant, ce n'était pas franchement le moment de l'utiliser. Bien au contraire. Elle s'était maquillée, pouponnée, coiffée, soignée, et bien entendu, habillée.

Robin pénétra dans leur chambre, alors que Nami avait les larmes aux yeux, et la main collée sur son bas-ventre. Elle avait mal, très mal, et un mal de crâne la taraudait depuis la matinée. Sans parler d'une envie très folle d'être prise par son amante.

-Je te connais, quand tu es dans cet état.

Elle avait ses règles. Celles de Robin étaient largement plus espacées, et moins régulières que celles de la navigatrice, la résultante de ses trop nombreux voyages et des tentatives d'assassinat et d'empoisonnement à son encontre. Elle ne pourrait jamais porter d'enfant, Nami, en revanche, si.

-Je suis désolée.

Robin fit signe d'approcher à la belle rousse, qui obéit rapidement. L'historienne se déshabilla prestement, dévoilant sa nudité au grand jour, elle garda néanmoins un boxer d'une couleur sombre, en cuir.

-Tu n'as pas à l'être.

La femme fit venir une chaise très confortable, dotée d'un coussin luxueux et s'y installa prestement. Nami choisit de s'asseoir sur ses cuisses, ses jambes enroulées autour des siennes, son dos contre la poitrine impressionnante de Robin.

Cette dernière caressait sa taille, bien douloureuse, les phéromones de Nami pendant cette période étaient bien contagieuses, Robin avait tellement envie de se perdre dans cette sensation, or, par égard pour sa rousse, elle ne tenterait rien.

Deux mains franchement audacieuses s'emparèrent des seins de Nami, les englobant tout entiers, et Robin commença à les titiller, Nami se reçut des milliers d'étincelles sur sa peau par la même occasion. La jeune fille glissa ses doigts dans la lourde chevelure de l'historienne, pour ne plus les en décoller.

Deux langues glissèrent sur son épiderme bien hérissé alors que des frémissements s'emparèrent de la navigatrice. Les extrémités chaudes et humides se hissèrent sur ses tétons durs et fièrement dressés sous l'effet des œstrogènes excités.

Bientôt, Nami effectua instinctivement des mouvements mimant l'acte sexuel, même si son bas-ventre protesta contre l'absence de véritable coït. Pendant ses menstruations, Nami ne parvenait plus totalement à se contrôler.

Des index singulièrement rusés poussèrent les seins vers l'intérieur, et la rouquine ne retint plus un gémissement. Deux exemplaires de lèvres englobèrent goulûment les extrémités rehaussées, et un torrent de plaisir s'insinua dans sa poitrine.

Le dos de Nami était cambré contre le corps de Robin, et elles étaient toutes les deux encore assises sur cette chaise. Bientôt, la rousse n'y teint plus. Elle s'installa à califourchon contre Robin, celle dont elle porterait sans doute les enfants un jour, à l'aide d'un miracle d'Ivankov.

Leurs seins s'imbriquèrent parfaitement, et Nami se glissa vers le bas. À son tour de gober les globes puissants de Robin, à son tour de lécher sans pitié, à son tour de jouer avec le corps de sa maîtresse, dominante de son cœur.

Même si des larmes de regret humidifiaient encore ses joues, elle fut soulagée, Robin ne lui en voulait pas le moins du monde. L'orgasme s'empara d'elles deux violemment, et Nami s'enroula dans les bras de l'archéologue.

-Tu es allée voir Chopper ?

-Pour des antidouleurs et des antispasmodiques ? Oui... Mais ils mettent du temps à agir.

Robin enroula une couverture autour de leurs corps nus tandis qu'elle transportait le corps endormi de sa douce vers leur lit commun. Tendrement, elle enroula ses bras autour de la rouquine, en proie à la douleur et aux émotions traitresses.

-Dors bien, mon amour.

Elle associa la parole au geste, posant délicatement plusieurs paumes chaudes contre l'endroit où se trouvait l'utérus de la navigatrice, espérant atténuer sa souffrance. La belle rousse portait une culotte menstruelle, dotée de plusieurs rangées de dentelles très sexy.

-Tu es bien coquine.

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